Mangas

Nous vous proposons sur cette page un listing des mangas anime que l'on a pu visionner. Pour chaque titre nous vous donnerons un rapide topo sur le manga accompagné de nos avis propres sur cette série, ainsi que d'une galerie de screenshots faits par nos soins.

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 07-Ghost

Histoire : C'est l'ultime journée pour les étudiants en dernière année de l'Académie militaire de l'Empire Barsburg avant la fatidique épreuve finale. C'est l'occasion rêvée de se démarquer des 500 étudiants puisqu'ils seront tous observés par les grandes élites militaires.
Les deux amis Teito et Mikage ne redoutent pas cette épreuve et la passent haut la main. Mais avant qu'il ne soit diplômé, des souvenirs surgissent dans l'esprit de Teito et, enragé, il s'attaque à l'élite Ayanami.
Neutralisé, Teito est enfermé ... pas pour longtemps puisque Mikage l'aide à fuir l'académie. Finalement Teito sera reccueilli par de mystérieux évêques au sein de l'église protégée par les mystérieux 07-ghost. Son aventure commence à peine.

Jezekiel



Voici un anime à la limite entre Shônen et Shôjo qui vous laissera une impression très particulière au fil de ses 25 épisodes. Pourtant l'intrigue de fond n'est pas inintéressante, malgré le fait qu'elle ne se dévoile que trop lentement.
Nous avons également droit à des scènes d'actions assez bonnes ... mais le tout est gâché par des relations entre les personnages masculins plus qu'ambigües ... ayant toujours pour centre Teito. L'auteur a voulu donner une intensité rare aux relations d'amitié que pouvait tisser le héros mais il n'a pas su trouver le juste milieu pour que l'on ne se pose pas des questions.
On notera quelques situations qui tirent (beaucoup) trop sur la longueur. Par exemple, nous verrons Teito se ballader avec des chaînes aux poignets durant pas moins de sept épisodes !
Mains finalement les derniers épisodes mettent un sacré coup d'accélérateur ... pour nous laisser grandement frustrés quand la fin arrive. Une fin qui sonne comme une fin de saison dont la saison 2 se fait attendre depuis 2009 -_-

Jezekiel



Teito Klein
Mikage
Frau
Castor & Labrador
Ayanami

 Ao no Exocist

Histoire : Une nuit, une église non identifiée connaît une grosse effervescence. De nombreux prêtres psalmodient lorsque l'ensemble des cierges s’éteint. Bien que perturbés, ils continuent leurs psalmodies lorsque l'un d'eux se met à vomir un feu bleu par la bouche et les yeux avant de s'embraser entièrement. Puis vient le tour d'un second, puis d'un troisième. Les prêtres ici présents semblent vouloir protéger une certaine Assiah. C'est alors que le cardinal s'embrase à son tour, enflammant toute l'église.
Plusieurs années plus tard, on suit un jeune adolescent de quinze ans du nom de Rin Okumura. Sur le chemin du retour, il aperçoit trois adolescents tirer à l'arbalète sur des pigeons. D'un naturel colérique, Rin se jette sur eux et les fait battre en retraite. Plus tard, dans une abbaye, un prêtre du nom de Fujimoto, tente de prendre sa confession. Il s'avère que Fujimoto est leur père adoptif à lui et son frère jumeau Yukio, qui est l'exact opposé de lui : sage et studieux. En effet Rin a vite abandonné les études mais ne parvient pas pour autant à conserver un emploi. Le lendemain matin, alors qu'il passe un test pour un nouveau job il aperçoit une petite créature piquer l'écharpe à une gamine. Seul problème, hormis lui et la fillette, personne ne semble apercevoir la créature.

Jezekiel



Excellent anime que voici ! L'histoire est distillée ni trop vite, ni trop lentement et nous tient en haleine par ses cliffhangers cruels à la fin de quasiment chacun des 25 épisodes qui composent la série TV. Ajoutés à cela 3 omake amusants (surtout le premier avec le clin d'oeil à Hokuto no Ken) et 1 O.A.V. complètement dispensable et à la limite de l'inintéressant.
Les divers protagonistes sont très bien pensés si bien qu'on s'y attache très vite. Que dire de plus ? Humour et Action se marient très bien dans cet anime et le dernier épisode de la saison est à couper le souffle.

Jezekiel



Rin Okumura
Yukio Okumura
Fujimoto
Mephisto Pheles
Shura

 Bakumatsu Gijinden Roman

Histoire : A la fin du XIXème siècle, le Shogunat du Japon était stable depuis environ deux cents ans. Une stabilité qui allait être perturbée par l'arrivée de vaisseaux noirs. Au nom de la justice, cette ère fut plongée dans les chaos et les ténèbres. Les villageois sans défense étaient alors opprimés et spoliés de leurs biens. C'est dans ce cadre qu'évolue Manjiro, un aide à la personne prêt à tout pour aider autrui en échange d'une compensation monétaire ... du moins le jour. Car la nuit il est plus connu sous le nom de Roman, véritable Robin des Bois oeuvrant pour réparer ces injustices et rendre les biens volés aux plus pauvres. A la tête d'une petite équipe clandestine et hétéroclite, il va se retrouver impliqué dans un complot d'envergure nationale.

Jezekiel



Oubliez le speach de départ, le ton est donné dès les premières secondes. L'anime est prétexte à toutes les loufoqueries, guignoleries et bizarreries possibles et inimaginables, introduisant des anachronismes sans aucune retenue.
Sans vouloir trop vous spolier si vous franchissez tout de même le pas, vous aurez affaire à de gentils zombies, un héros capables de revêtir une armure dans le plus pur style Tekaman et encore d'autres inventions sorties de l'esprit particulièrement brillant de l'ingénieur du groupe qui n'a pas à rougir face aux inventions modernes.
A côté de ça on peut aussi déplorer une direction de l'anime pour le moins particulière avec un H.S. dès le quatrième épisode ou encore un scénario rocambolesque et improbable qui fait des pirouettes honteuses lorsqu'il ne donne pas l'impression d'être bâclé voire d'être écrit à la dernière minute.
Néanmoins, parmi ces 12 épisodes, vous arriverez à trouver 2-3 perles ... mais est-ce bien suffisant pour devoir supporter tout le reste à côté ? A vous de voir !



Manjiro / Roman
Koharu & Sakura
le Dr. Hansuke et ses zombies
Okuni
Suzuki Magoichi

 Batman : Gotham Knight

Histoire : Batman : Gotham Knight c'est avant tout un recueil de six mini-épisodes. "Gotham Knight" étant le titre du premier, suivi par "Crossfire", "Field Test", "In Darkness Dwells", "Working Through Pain" et "Deadshot".
Dans le premier nous faisons connaissance avec une bande de skateurs qui se retrouvent dans un skatepark. Chacun raconte à tour de rôle leur rencontre avec la chauve-souris dont ils se font une vision bien particulière, du fantôme au robot en passant par la chauve-souris vampire.
Dans le second nous suivons les péripéties de deux agents de la section spéciale de Gordon pris entre deux feux, entre deux gangs ... et ainsi de suite.

Jezekiel



Décidément, ça devient la grande mode ce genre de recueil ! Et c'est souvent très mitigé comme résultat ... ce qui est le cas également ici. Les styles graphiques changent du tout au tout à chaque épisode, ainsi que la qualité. De plus il n'y a strictement aucun fil conducteur entre les épisodes, j'en veux pour preuve que Batman affronte deux chefs de gangs dans plusieurs épisodes. A chaque fois il les neutralise, mais à chaque fois ils reviennent -_-
En dehors d'eux on notera la présence de l'épouvantail, de Deadshot ainsi que d'un ersatz de Killercroc ... ces derniers ravivant quelque peu l'intérêt des épisodes qui tombent bien bas autrement. Dommage car certains style sont tout simplement superbes.

Jezekiel



Batman dans "Gotham Knight"
Batman et un des policiers dans "CrossFire"
Batman dans "Field Test"
Batman dans "Working Through Pain"
Batman dans "Deadshot"

 Blade

Histoire : Yokohama, Blade, le diurnambule, mi-humain, mi-vampire, se souvient de ses origines avant de partir en chasse. Sa proie favorite ? Les vampires ! Il surprend un quatuor en train de s'amuser avec un être humain. Blade se joint au jeu et tue rapidement trois d'entre eux, conservant le dernier pour interrogatoire. Il lui demande alors quel est le symbole au-dessus de la porte d'entrée du night club dont ils se servent pour se nourrir. Il n'a pas besoin de beaucoup insister pour apprendre qu'il s'agit du logo de leur organisation : Existence. Ayant obtenu les infos désirées, il l'exécute. Toutefois deux autres chasseurs de vampires débarquent dans le nightclub. Leur intervention tourne au vinaigre lorsque le leader d'Existence apparaît : Deacon Frost !

Jezekiel



De tous les comics portés en anime manga (IronMan, Wolverine, X-Men), Blade est sûrement le plus réussi ! Le personnage de Blade est parfaitement retranscrit, que ce soit au niveau design ou caractère. Plus indéniable, on sent que les scénaristes ont fourni plus d'efforts en faisant des recherches sur les diverses mythologies et légendes ayant trait aux vampires locaux. Tout cela épaissit l'anime de façon non négligeabe à mes yeux !
Autre point positif, ou plutôt amusant, est la présence de Wolverine en guest star (qui devient donc le fil rouge des anime comics). En revanche le mutant a embarqué avec lui l'un des ennemis de sa série en la présence de Kikyo. Déjà limite dans Wolverine, il est too much dans Blade ... surtout qu'il connait le même genre d'évolution que dans Wolverine -_- Autre point too much : le chien (vous comprendrez en voyant l'anime XD).

Jezekiel



Blade
Razor & Makoto
Noah Helsing
Deacon Frost
Lucius Isaac, un des pur sang

 Bleach

Histoire : Ichigo Kurosaki est un lycéen pas tout à fait comme les autres ! En effet il a la capacité de voir les esprits défunts et d'interagir avec eux. Il s'est d'ailleurs pris d'affection pour l'un d'eux en particulier, l'esprit d'une petite fille dont il essaie de préserver le lieu de repos. Mais un jour il la voit pourchassée par une créature gigantesque et monstrueuse que les simples humains ne semblent pas voir. En fait, il s'avérera que la créature ne visait pas l'esprit de la jeune fille mais plutôt Ichigo dont le reiatsu (la force spirituelle) est bien plus élevée que la moyenne des humains.
C'est ainsi que le monstre remonte la trace d'Ichigo jusqu'à chez lui. Pendant ce temps, une mystérieuse jeune femme tout de noir vêtue s'introduit dans la chambre d'Ichigo. La jeune femme lui explique qu'elle est un shinigami (un dieu de la mort), du nom de Kuchiki Rukia, et que les monstres s'appellent des Hollow. Créatures qui s'en prennent aux esprits errants ou aux êtres humains possédant un fort reiatsu. C'est alors que le monstre arrive et blesse Rukia. Afin de sauver sa famille, Ichigo accepte de se transpercer le coeur avec le zanpakutoh de Rukia afin qu'elle lui confère une partie de ses pouvoirs de shinigamis. Au grand étonnement de Rukia, Ichigo ne se contente pas d'une partie mais de la totalité de ses pouvoirs.
C'est ainsi qu'Ichigo entre de plain-pied dans l'envers du décor spirituel de son monde. Son initiation le poussera à combattre de nombreux Hollow jusqu'à l'amener à la Soul Society, le monde des Shinigamis où Rukia sera en danger de mort pour avoir conféré ses pouvoirs à un mortel.
Par la suite, de nombreux autres bélligérants feront leur apparition tels que Uryuu Ishida, le dernier des Quincy, les Bount ou encore les Arrancars et les Vizards.

Jezekiel



Je ne me suis mis à cet anime que très récemment, à force d'entendre Shion et diverses connaissances en parler. Leurs conversations et leur entrain ont titillé ma curiosité et je me suis décidé à voir le premier épisode. Passé le générique je me suis vite mis dans le bain de l'épisode qui commence sur les chapeaux de roues.
Humour, actions tonitruantes et combats déments sont au programme de cet anime qui est vite devenu l'un de mes favoris. Le tout servi par une bande audio excellente et donnant une réelle atmosphère à certaines scènes clefs. Cela ne vous rappelle rien ? Oui, un autre grand anime culte possède les mêmes ingrédients qui mélangés, forment un tout explosif !
A l'instar de Saint Seiya (Asgard), Bleach possède une saison entièrement inédite vis-à-vis du manga qui est tout aussi excellente que la trame classique.

Jezekiel



L'un des animes les plus cotés de ces dernières années, et pour cause : il est incontournable pour les fans d'arme blanche, qui sont légion. Les Shinigamis en effet se battent avec des Zanpakutoh au design similaire à celui de simples katanas, mais ayant deux niveaux d'évolution, souvent originaux, par exemple le Wabisuke de Kira. Personnellement, j'ai mis du temps à me faire à cette série ; en effet les dessins et le scénario ne m'attiraient pas plus que ça ... Grand mal m'en prit, car je me suis vite habitué au design et le scénario devient très intéressant avec l'enquête de la mort d'Aizen qui se fait en parallèle avec l'invasion de la Seireitei par Ichigo et compagnie. Bref, action et réflexion sur la même période : que du bon !

Shion



N'étant pas une adepte des vagues d'engouements pour certains mangas, j'ai longtemps ignoré Bleach.. Quelle grave erreur !! Cette série rejoint « l'esprit manga » tel que les grands classiques comme Saint Seiya et DBZ. Elle renoue avec ce mélange aventure/humour qui est, il faut l'avouer, si appréciable. La longue liste des épisodes pourraient faire peur à certains, se disant qu'on ne verrait que la même chose pendant les centaines et quelques épisodes. Il est vrai, certains passages de l'anime sont un peu soporifiques et parfois trop HS, mais lorsque l'esprit Bleach revient .... On se régale ! Hé oui, c'est réellement une nouvelle référence manga ! Graphiquement, les premiers épisodes ne sont pas géniaux, Ichigo est transparent ainsi que Rukia, bref, ce n'était pas terrible. Mais plus on avance dans la série et plus le design s'améliore. Les différentes personnalités sont hautes en couleur et on apprécie (ou déteste) certains personnages très facilement. Les shinigamis sont tout simplement interessant, on attend toujours avec impatience le moment où ils dégainent leurs zanpakuto, surtout les capitaines et leur Bankaï ! Toujours plein d'imagination, on est étonné parfois par la tournure des évènements, laissant donc le suspens planant. On accuse souvent la partie HS que sont les Bounts, or cela est défendable car je trouve cette partie très interessante surtout d'un point de vue relationnel. Les personnages nous dévoilent certaines de leurs facettes. Comment récapituler Bleach en un seul mot ... Tout simplement : Incontournable !

Kouraï



un Hollow parmi tant d'autres.
Ishida Uryuu, le Quincy.
Sado / "Chad"
Kuchiki Byakuya, Capitaine de la 6ème division du Gotei 13 du Seireiteï.
Abarai Renji, lieutenant de la 6ème division du Gotei 13 du Seireiteï, et son Bankaï.
Hitsugaya Toushirou, capitaine de la 10ème division du Gotei 13 du Seireiteï, et son Bankaï : Daiguren Hyourinmaru.
Koga, un des Bount, et sa marionnette Hitaruku.
Hirako, un des Vizards.
Shawlong Qufang, l'Arrancar 11 sous sa forme libérée : Tijereta.
Grimmjow, l'Arrancar 6 de l'Espada.

 Blood +

Histoire : Dans un village vietnamien inconnu, une jeune fille aux yeux rouges provoque un véritable carnage, lacérant de son épée tout ce qui bouge : Les villageois, les G.I. américains ou encore ces bêtes monstrueuses qui l'ont précédée. Plusieurs années plus tard, on rejoint une jeune lycéenne du nom de Saya à l'entraînement. Après le déjeuner, Kai, son grand frère, l'emmène à l'hôpital pour se faire transfuser.
Rentrant à pied, Saya entend soudain de la musique jouée par un violoniste itinérant. C'est alors qu'un souvenir semble émerger dans l'esprit de Saya, elle se voit en robe ancienne dans un château.
De retour chez elle, elle se rend compte qu'elle a oublié ses chaussures de sport à l'école. Sur place, elle rencontre à nouveau le violoniste. Ce dernier tient une dague et semble la connaître. De peur, Saya s'enfuit et se cogne au concierge.
Saya tente de lui expliquer l'homme qu'elle a vu quand soudain le concierge est soulevé dans un arbre. Son sang dégouline des branches quelques secondes plus tard. La créature, semblable à celles vues au Vietnam, la poursuit alors.
Finalement, grâce au violoniste, Saya parviendra à s'en débarrasser, et pour cause : elle est l'unique arme capable de tuer ces bêtes, les chiropteras !

Jezekiel



Pour tous les fans de vampires et autres suceurs de sang, cet anime est pour vous !
On découvre au fur et à mesure de l'anime l'histoire de Saya distillée habilement au compte-gouttes avec un vrai régal. Même si l'action est réellement présente, on pourrait déplorer les trop longues scènes de parlotte qui auraient pu nous enlever facilement 2 à 3 épisodes des 50 de la série.
L'histoire a tôt fait de se complexifier tellement les protagonistes sont nombreux : Saya et le Bouclier Rouge, Diva et ses Chevaliers, le Schiff, le Corpse Corps ...
Toutefois, il se visionne sans difficultés, rageant même contre certains cliffhangers et nous poussant à rester éveillé plus tard que prévu à l'origine.

Jezekiel



Saya
Hagi
David san
Diva
un Chiroptera

 Blood C

Histoire : Saya Kisaragi est une jeune étudiante modèle, naïve, serviable mais aussi très maladroite. De retour chez elle, elle est également une miko, une jeune femme au service du sanctuaire, dont s'occupe son père Tadayoshi, mais également porteuse de prophétie. Ces derniers temps elle voit souvent une lumière dont elle ignore tout mais qui l'obsède.
Un soir comme un autre, elle rentre chez elle après ses études. Son père l'attend de pied ferme et lui remet solennellement un katana. Manifestement ce n'est pas la première fois que cela se produit.
Elle se dirige alors vers un lac près du temple où elle affronte et tue une créature de pierre, un ancien.

Jezekiel



Rien à voir avec Blood ou même Blood +, Blood C ne reprend que l'identité de l'héroïne pour un mix plus étonnant de combats sanglants et fleur bleue. En effet lors des journées de lycéennes de Saya, l'anime devient chiantissime et très nunuche avec des rapports entre les personnages qui semblent superficiels, voire artificiels au point de songer à arrêter de regarder cet anime ... et nous aurions bien tort !
Arrivé à la moitié de l'anime (qui comporte 12 épisodes et prochainement un O.A.V. nommé "the Last Dark"), on assiste à une augmentation des phases de combats qui prend le pas sur tout ce qu'on a pu ne pas aimer auparavant. Et que dire du grand final qui explique bien des choses et rend l'anime encore plus attrayant. Ce qui rend l'attente de l'O.A.V. (qui fait directement suite à l'anime) que plus insupportable.
Exit les vampires, ici ce sont des monstres nommés "Anciens" que Saya combat ... mais attendez-vous tout de même à des scènes bien gores.

Jezekiel



Saya Kisaragi
Tadayoshi
Fumito
Yuuka, Nene, Tomofusa et Nono
un Ancien

 Brave 10

Histoire : En pleine nuit, un Sanctuaire est attaqué et mis à feu et à sang. Tous les moines sont tués sauf la prêtresse d'Izumo qui parvient à s'enfuir. Se sauvant à travers la forêt en direction des terres d'Ueda pour demander de l'aide au château, elle est poursuivie par des ninjas. C'est alors qu'elle fait une rencontre opportune : un sombre guerrier que personne n'est arrivé à blesser. Pris également pour cible pour avoir vu la jeune femme, le guerrier est obligé de se défendre ... au grand dam des ninjas dont il se débarrasse rapidement. Bien que réticent, il se laisse convaincre par la prêtresse de l'escorter jusqu'au château.

Jezekiel



Etant fan de Sengoku Basara, j'ai été quelque peu perturbé de retrouver certains noms de personnages de l'anime dans Brave 10, parfois à contre-emploi de surcroit. Néanmoins rien d'étonnant avec des personnages historiques.
Dans Brave 10, ces grands de l'histoire nippone sont plutôt hauts en couleurs. En revanche je trouve qu'ils sont introduits trop rapidement et qu'ils se lient trop vite également. C'est un peu le gros défaut de cet anime et de ses 12 épisodes où on a l'impression que beaucoup de choses ne sont pas assez développées voire bâclées dans quelques cas. Cela vaut pour l'histoire en général, le background des personnages presque inexistant et auquel on fait pourtant mention (comme le fait que Saizou soit un ninja d'Iga par exemple) ou encore la fin de l'anime qui arrive avec pertes et fracas et qui procure le plus grand sentiment de torchage.
Cette sensation aurait pu être un peu amoindrie en supprimant une ou deux scènes de "vie courante" s'étirant un peu trop dans la durée. Néanmoins le style graphique est très plaisant, l'action très agréable à voir et donne un anime très plaisant à regarder.

Jezekiel



Saizou
Isanami
Rokuro & Sanada Yukimura
Ana & Sasuke
Date Masamune

 Broken Blade

Histoire : Continent de Cruson, un lieu sans pétrole mais où les gens naissent avec la capacité de contrôler librement le quartz à divers degrés. Toute leur technologie est basée sur le raffinement du quartz et son utilisation très variée, de la roue aux armes à feu en passant par les golems, des méchas pilotés.
Dans ce monde où le rang social est défini par sa capacité à maîtriser le quartz, Lygatt Arrow est en bas de l'échelle car il est l'un des rares impuissants qui ne peuvent exercer la moindre forme de contrôle.
Ami du Roi Hözl mais simple agriculteur, il va pourtant s'avérer être le seul à pouvoir piloter un golem vieux de mille ans dont les capacités uniques représentent sûrement l'unique salut du royaume alors qu'une guerre perdue d'avance s'engage.

Jezekiel



Quelle claque se prend-on lorsqu'on regarde le premier O.A.V. (sur 6 et de 50 minutes). Les graphismes sont tout simplement époustouflants et l'animation splendide.
En dehors de cela l'histoire débute comme un classique triangle amoureux mais qui passera bien vite en background face à l'évolution de Lygatt qui va se révéler durant la série. D'un personnage incapable et fuyant les confrontations il deviendra un guerrier redoutable aux commandes de son golem. Nous assisterons dès lors à des combats d'anthologie et assez jouissifs dans lesquels l'anti-conformisme de Lygatt va faire des étincelles.
En conclusion je dirais que c'est une excellente série d'O.A.V. mais dont la fin sonne presque comme une fin de saison seulement ... ce qui serait loin d'être mauvais à mes yeux ^^

Jezekiel



Lygatt Arrow
le Golem de Lygatt
la Reine Shee-Gyun
le Roi Hözl
l'odieux Général Bhorcys

 Claymore

Histoire : Alors que le jour se lève sur un petit village moyennâgeux, les villageois découvrent le cadavre de l'un des leurs dans une ruelle barbouillée de sang. C'est le sixième d'entre eux à mourir ainsi et ils commencent à soupçonner la présence d'un Yoma parmi eux. Le seul problème est qu'un Yoma est indifférenciable des humains lorsque celui-ci se déguise en humain lui-même.
L'hystérie et la suspicion montent dans le village. Le chef leur annonce alors qu'un Claymore se dirige vers leur village. Cette nouvelle est loin de leur faire plaisir car ces êtres sont mi-humains, mi-yoma. Néanmoins ce sont les seuls à pouvoir distinguer un yoma déguisé et pouvoir le combattre. Peu après la réunion, le Claymore arrive au village. Il s'agit d'une jeune femme d'apparence frêle, blonde et aux yeux argentés. Tous la redoute dans le village, tous sauf le jeune Raki qui la trouve normale et n'hésite pas à la suivre par curiosité. Du moins en apparence. Il confie à la Claymore que les premiers villageois à avoir été tués étaient ses parents. La Claymore lui répond froidement qu'elle ne compte pas les venger. Le soir venu, Raki rentre chez son oncle qu'il découvre mort. Il découvre rapidement que celui qui s'était fait passer pour son frère depuis la mort de leurs parents n'était autre que le yoma lui-même. A la merci du yoma, Raki voit surgir en traversant le toît la Claymore qui tranche directement un des bras du yoma. Puis en trois coups d'épée supplémentaires elle vient à bout du yoma en un laps de temps très bref.
Après cette terrible nuit, Raki accompagnera la Claymore du nom de Claire lors de ses pérégrinations et ses missions à travers le pays.

Jezekiel



Attention ! L'essayer c'est l'adopter ! En effet la magie de cet anime opère dès le premier anime et on en devient de suite accro. Chaque épisode se finit sur un cliffhanger tout ce qu'il y a de plus cruel pour le spectateur et une seule envie nous tiraille dès lors : connaître la suite !
On accompagne Claire dans sa montée en puissance, elle qui est la plus mal classée parmi les Claymore devient de plus en plus puissante face aux yomas toujours plus monstrueusement forts, aux éveillés et même face aux abyssaux.
Pour ma part, au début, j'ai trouvé le style du dessin un peu bizarre, mais je me suis forcé et ne l'ai point regretté !

Jezekiel



Des femmes qui se battent avec des épées aussi grandes qu'elles ? Il y a de quoi être sceptique. Et pourtant, je suis tombé sous le charme dès le premier épisode. Le style graphique est assez original, mais on s'y fait vite. Les musiques sont sublimes, à tel point que j'ai acheté l'OST. Quant à l'histoire, on la suit toujours avec impatience. Les ennemis quant à eux sont de plus en plus puissants. On passe en effet du simple Yoma de base aux Abyssaux, qui dégagent pas mal de charisme, comme un bon nombre de Claymore par ailleurs, telles que Miria.
On regrettera cependant que l'anime ait divergé du manga lors des derniers épisodes, ce qui empêche une suite proche du manga, qui continue encore.

Shion



Claire
Teresa, la protectrice de Claire
Raki, le protégé de Claire
Miria, une autre Claymore
Ophelia, une Claymore cruelle et sanguinaire
Priscilla, une des Claymore envoyées pour tuer Teresa
Priscilla sous sa forme d'Eveillée
un des Eveillés au service de Rigald
un autre des Eveillés au service de Rigald
Une des Abyssales

 Dante's Inferno

Histoire : Alors qu'il rentre de croisade, Dante affronte des présages qui n'annoncent rien de bon. Chevauchant à triple galop, il se précipite pour retrouver sa bien-aimée Béatrice.
Mais arrivé chez lui, il y découvre les serviteurs de sa famille et son propre père massacrés. Il finit par retrouver sa dulcinée à l'arrière de la maison, agonisante. Ils ont juste le temps d'échanger quelques mots avant qu'elle ne meurt et voit son âme étincellante monter vers le ciel. C'est alors que Lucifer l'intercepte et l'emmène avec lui en enfer.
Sans hésiter une seule seconde, Dante se lance à sa poursuite. Débute alors pour lui un chemin expiatoire à travers les neufs cercles de l'enfer.

Jezekiel



Directement inspiré du jeu de Visceral Games éponyme, c'est avec grand enthousiasme que je lance le visionnage de cet O.A.V.. Et je me lance à corps perdu dans 1h28 d'une réalisation un peu molle et dont les nombreuses différences avec le jeu se font connaître très rapidement.
On notera par exemple que la faux que manie Dante est celle d'un vulgaire démon lambda et non celle de la Mort. Ou encore la différence flagrante dans le déroulement de l'affrontement avec Cerbère voir l'abcence totale de Cléopatre et donc le cercle de la luxure torché en quelques secondes montre en main.
D'autre part, l'O.A.V. a voulu se donner un style en copiant ce qui avait été fait sur Halo Legends, ou encore Animatrix, en proposant pas moins de sept styles différents mais également des chara design complètement méconnaissables d'une séquence à l'autre (je vous invite à consulter les captures pour voir de quoi je parle). C'est bien beau de prendre modèle sur des réussites mais encore faut-il le faire de façon intelligente. Que ce soit Animatrix ou Halo Legends, les changements de style étaient fait sur des épisodes bien à part et sans relations entre eux hormis l'univers qu'ils partagaient. Dans le cas de ce film, ça passe beaucoup moins bien car c'est une histoire en un seul bloc et devoir se demander l'identité de tel ou tel personnage récurrent devient franchement lassant.

Jezekiel



Dante
Béatrice
Lucifer
Virgil
Francesco

 Dead Space : Downfall

Histoire : Dans la colonie minière de la lointaine planète Aegis une équipe de prospecteurs procèdent à une vérification sur une activité sismique inhabituelle.
Sensés être les premiers à poser le pied sur cette planète, ils découvrent des traces de forage provoquées par une technologie caduque de 150 ans. Ils découvrent alors un étrange monument, une relique, un monolithe.
Les images de la découverte sont envoyées à l'église d'unitologie sur Terre qui décide d'y envoyer l'USG Ishimura. L'arrivée prévue un mois plus tard laissera amplement le temps aux conditions pour dégénérer. D'abord des violences inexpliquées qui dériveront en meurtres violents ou en suicides ensuite sans pour autant affecter la majorité de la population. L'arrivée de l'USG Ishimura accélérera les événements ...

Jezekiel



Le jeu dont s'inspire cet O.A.V. étant franchement une réussite (cf. mon test), je me suis naturellement mis à la recherche de quelconque dérivé et je suis tombé sur Dead Space : Downfall.
L'histoire de cet O.A.V. se déroulant chronologiquement avant le jeu, on peut déjà se douter que le scénario va être engoncé dans un certain carcan.
Le résultat ? Assez mitigé pour ma part. Le déroulement de l'O.A.V. est tel qu'on a l'impression que certaines scènes sont coupées tellement c'est haché. En dehors de cela, le style graphique ne colle pas du tout, on se retrouve avec une militaire à la coupe punk et aux cheveux bleus, ou même des espèces de tronçonneuses laser ... le genre d'extravagance complètement absente du jeu originel.
Bref, j'espère que le second O.A.V. inspiré du jeu sera bien meilleur.

Jezekiel



le Monolithe
Dr. Kyne
l'USG Ishimura en pleine opération d'extraction
Shen, la punk qui n'a rien à faire ici
une bande de Nécromorphes

 Devil Survivor 2 : the Animation

Histoire : Hibiki Kuze est un étudiant appliqué et réservé tandis que son ami Daichi Shijima est tout son contraire. Néanmoins cela ne les empêche pas d'être amis.
Un jour, Daichi montre à Hibiki un tout nouveau site underground et très tendance : Nicaea. Ce site, quelque peu glauque, propose d'envoyer à vos amis une vidéo "face de mort" où l'on vous voit mourir. A peine Daichi enregistre-t-il Hibiki sur le site qu'il reçoit une première vidéo montrant les derniers instants d'Hibiki. Prenant le métro sous-terrain, les faits vus dans la vidéo se produisent alors ... au détail près qu'Hibiki déjoue la mort, et la vidéo, et se relève. Lui et Daichi découvrent rapidement une autre rescapée, Nitta. Ils vont vite comprendre qu'ils ne sont pas seuls dans les décombres. En effet des espèces de lycanthropes sont en train de dévorer les cadavres encore chauds. Soudain, deux des téléphones portables des rescapés activent à grand renfort de lumière leur application nouvellement téléchargée durant la catastrophe ferroviaire : l'invocation de démons.

Jezekiel



Adapté du jeux vidéo éponyme sur Nintendo DS, Devil Survivor 2 : the Animation va vous emporter dans une saga haute en couleur teintée de mythologies diverses et variées. En effet ces "démons" ne sont autres que les créatures de diverses mythologies occidentales et orientales ... tout pour me plaire ^^
L'anime ne connait que très peu de temps morts grâce à sa dynamique poussée et son action omniprésente. L'animation nous met une véritable claque dès le premier épisode avec des effets de lumière tout simplement splendides. Un bémol tout de même sur le design des septentrions trop simplistes et rappelant trop les anges d'Evangelion.
Les protagonistes en eux-mêmes sont des classiques du genre, voire des clichés diront sûrement certaines ... et alors ? ... Bon, pour être tout à fait honnête, il faut admettre qu'Hibiki est peut-être un peu trop idéaliste/utopiste et beaucoup trop lisse pour que quiconque puisse s'identifier un minimum à lui alors qu'il est le personnage central (j'exclus bien évidemment tous les kevin et autres mythomanes).
Niveau scénario ... on ne peut pas dire qu'il soit très recherché ... mais il est efficace ! Quant à la fin, elle est un peu téléphonée et devinable depuis longtemps pour peu que l'on soit un minimum perspicace devant l'ending.

Jezekiel



Tout d'abord il faut savoir que cet anime est l'adaptation d'un jeu vidéo, Devil Survivor 2, qui est une branche de la franchise Megami Tensei (comme Persona, d'ailleurs, plus connue en occident), série bien connue pour ses mélanges de technologie et de mythologie.
Et cet anime ne fait pas exception, ces deux éléments sont étroitement liés, et cette union fonctionne plutôt bien. On regrettera cependnat que certaines créatures soient différentes de leur apparence dans les mythes.
Du côté des personnages principaux, nous avons un trio plutôt classique : Hibiki, le héros fort et sympathique, Daichi, le meilleur ami, plus faible, mais toujours de bonne humaine, et... Io, l'amie à forte poitrine... qui s'avérera cependant plus forte qu'il n'y parait. On peut également citer Yamato Hotsuin, personnage plutôt mystérieux qui dévoilera ses véritables intentions peu à peu, et finalement assez complexes.
Les Septentrions, dont les noms sont basés sur les étoiles de la Grande Ourse, ne sont pas sans faire penser aux anges d'Evangelion, tant par leur apparence que par leur rôle dans la série, ce qui n'est pas pour me déplaire, étant donné que les similitudes avec cette série s'arrêtent ici et ne vont pas plus loin.
Le rythme, un peu lent au début, tend à s'accélerer dans la seconde moitié de l'anime, sans doute pour bien mettre en valeur les personnages... Même si au final, on retient surtout les quatre dont j'ai parlé précédemment. La réalisation technique est réussie, ainsi que la musique. J'ai d'ailleurs un gros faible pour l'ending. D'ailleurs, lorsqu'un personnage meurt, il disparait de l'ending à partir de ce moment-là.
En clair, je conseille cet animeaux fans de la franchise MegaTen, bien sûr, mais également aux fans de mythologie, pour peu qu'ils ne soient pas trop à cheval sur certaines choses.

Shion



Hibiki Kuze
Nitta, Daichi, Hinako, Jungo & Airi
Alcor
le 3ème Septantrion
Yamato Hotsuin

 DragonBall

Histoire : Sangoku est un petit garçon qui vit seul dans la petite maison de son défunt grand-père. Très débrouillard et fort pour son âge, Sangoku vit une vie paisible dans une région du monde non civilisée. Cette tranquillité sera perturbée dès l'arrivée fracassante d'une jeune fille, répondant au nom de Bulma et recherchant de mystérieuses dragon ball.
Le seul souvenir de son grand-père que possède Sangoku se trouvant être l'une de ses dragon ball, Sangoku accepte d'accompagner Bulma afin de devenir plus fort durant leur périple. En effet, Sangoku rencontrera de nombreux êtres aux pouvoirs extraordinaires qui s'avéreront de précieux alliés, comme Krilin et Yamcha, ou de puissants ennemis, comme l'armée du Ruban Rouge ou bien encore le maléfique Piccolo.

Jezekiel



Ayant connu la série par l'intermédiaire de sa suite (Dragon Ball Z), j'ai longuement ignoré cette anime. Quelle grave erreur !
Cette série mythique et incontournable regorge d'humour et d'action. Elle présente également de nombreux passages inédits comparée au manga. Très amusante, elle vise un public relativement jeune, jusqu'à l'arrivée de Piccolo.

Jezekiel



Bien que cette série passe souvent inaperçue face à sa séquelle Dragon Ball Z, elle n'en reste pas moins incontournable pour les fans du garçon à queue de singe. En effet, l'humour est très souvent au rendez-vous, voire même quasiment à chaque épisode jusqu'au 23ème tournoi. Elle n'en reste pas moins une série d'action très intéressante, librement inspirée de la Légende du Roi des Singes. Bref, si vous ne l'avez pas encore vue après toutes ces années... Rattrapez votre retard !

Shion



Bien que moins populaire que sa grande soeur Dragon Ball Z ( et encore ) au yeux de beaucoup , cette série retraçant la jeunesse et l'initiation de Sangoku est pourtant un régal de fraicheur et d'humour . Les situations cocasses ainsi que l'introduction progressive des personnages entourant le jeune héros ( qui seront présent jusqu'à la fin de la mythologie de Toriyama pour beaucoup d'entre eux ) y est très bien amenés , tout autant que l'évolution des techniques et du caractère de notre petit bonhomme a queue de singe ( qui est un ignorant total a la base ) . Le ton est y est moins sérieux que dans Dragon Ball Z , comme si son auteur la destinait surtout au plus jeunes , sans doute pour conserver justement l'insouciance de son jeune héros . Alors certes , les combats homériques y sont moins légions mais ce n'est vraiment un handicap a coté des situations nombreuses et cocasses qui la composent. En somme , indispensable donc pour toutes personnes qui se dit fans de " dragon Ball " en général ...

Clad



Sangoku face au "monstre" mécanique.
Quand Bulma rencontre Sangoku.
Deux dragonballs !
L'arrivée de Tortue Géniale.
Le malicieux Oolon.
Yamcha
Un des sbires du Roi Pilaf pilotant une armure de combat.
Sangoku en Singe géant.
Krilin
Le ring du Championnat du Monde d'Arts Martiaux.

 DragonBall GT

Histoire : A la fin de Dragon Ball Z, une séquelle exclusivement en anime a été proposée : Dragon Ball GT (Great Touring, soit le grand voyage) qui débute 10 ans après le départ de Sangoku. Ce dernier termine son entraînement avec Oob dans le palais de Dieu, lorsque Pilaf, l'un des plus anciens ennemis du Saiyan, découvre de nouvelles dragonballs, et fait le voeu (involontaire) que Sangoku redevienne enfant. Notre héros ainsi rajeuni va devoir partir dans l'espace en quête de ces dragonballs accompagné de Pan, sa petite-fille, et Trunks, afin de retrouver sa taille normale, et ainsi sauver la Terre. Le trio découvrira qu'il existe dans l'univers des dangers bien plus graves que ceux qu'ils ont affrontés jusqu'alors ...

Shion



Avant de commencer à regarder cette nouvelle séquelle, il faut savoir que l'anime n'a été supervisée à aucun moment par Akira Toriyama, l'auteur de la série originale et de la première séquelle. Personnellement je trouve cela très aberrant ... mais bon !
J'ai mis énormément de temps avant de commencer à la regarder, même si je ne l'ai pas encore fait entièrement. Elle se compose de trois saisons : la première, la plus longue des trois, voit le trio, devenu le focus de la série, traverser l'espace et croiser la route de Baby (ou Bebi) contre qui Sangoku devra avoir recours à un nouveau stade de transformation : le super saiyen de niveau 4 au design extrêmement particulier. La seconde saison, la plus courte, et de loin, voit le retour sur le devant de la scène de C-17. Finalement, la 3ème saison propose un concept fort intéressant avec une sorte de retour de bâton pour le trop grand nombre de bonnes actions commises avec les dragon ball.
La série présente à la fois du bon et du très mauvais, tel qu'un humour lourd et particulièrement débile mis en place histoire d'essayer de rendre honneur à Dragon Ball, mais complètement à côté de la plaque, renforcé par une V.F. désastreuse.

Jezekiel



Cette série a été plus ou moins bien accueillie selon les personnes. Pour ma part, je l'aime bien. La première partie renoue avec le début de la saga, soit la quête des dragonballs. Par la suite nous avons des combats impressionnants : Baby, Super C-17 et Li Shenron ne sont pas des faibles, et Sangoku n'aura pas trop de la puissance de Super Saiyan 4 pour se défendre ! Cette série n'est toutefois pas parfaite : elle est selon moi trop axée sur Sangoku et Pan ; même Vegeta voit son personnage passer au second plan pendant une grande partie de la série... Quant à Tenshinhan, Yamcha ou Tortue Géniale, ils ne font plus que de brèves apparitions...

Shion



Bien qu'Akira Toriyama ai donner son aval a la réalisation de cette série se déroulant prés de 10 ans après la fin " officiel " de Dragon Ball Z , on voit bien tout au long de Dragon ball GT que la patte scénaristique et le ton propre à ce dernier y font cruellement défaut. La série alterne du bon ( on y voit un peu plus le quotidien de et l'intimité de certaines personnes , comme Végéta ) et malheureusement le plus souvent du moins bon ( a part Li Shenron , et encore , les autres grands méchants sont pour ma part sans saveur ). Bien que faisant partie désormais de la mythologie " Dragon Ball " , je n'ai pas vraiment accroché a cette série que je trouverai presque inutile , Toriyama ayant pour ma part terminez de façons logique les aventures de Sangoku et consort par le passé. Ceci dit , elle est une curiosité a voire au moins une fois , surtout pour voir ce que peut être une utilisations a outrance d'un concept populaire , rallonger artificiellement et sans saveur a mes yeux.

Clad



la Navette Spatiale des héros.
Zunama
Leizig
Rylde
Triple Kaméhaméha contre Rylde.
Vegeta Super Saiyan Jin
2ème évolution de Vegeta possédé par Baby.
Sangoku Super Saiya Jin 4
Super C-17
Un des dragons maléfiques.

 DragonBall Kai

Histoire : Contrairement à ce qu'on pourrait penser au premier abord, Dragon Ball Kai n'est pas une énième suite du célébrissime anime Dragon Ball Z, mais une nouvelle version de celui-ci : la Toei a en effet voulu donner une nouvelle jeunesse à cet anime de légende. Au programme, une remasterisation de l'image et du son, une nouvelle OST, ainsi qu'une épuration par rapport à la série originale. En effet, si Dragon Ball Z a duré 291 épisodes, Dragon Ball Kai n'en aura que 100. On renvoie donc les suppléments tels que le retour de Garlic et le tournoi de l'Autre Monde, afin de suivre un scénario suivant la trame du manga.

Shion



Si un anime mérite une seconde jeunesse, c'est bien lui. Grâce à DB Kai, nous pouvons voir les aventures de Gokû et ses amis dans une meilleure qualité que jamais. On regrettera cependant que la série Dragon Ball n'ait été prise en compte que durant la première moitié du premier épisode, et n'ait pas bénéficié du même traitement. Le scénario se rapproche plus du manga, et c'est tant mieux, parce que voir Gokû courir sur la route du Serpent devenait pénible à la longue... Du côté des musiques, le nouvel opening est sympathique, mais je n'accroche pas au reste de l'OST ... Difficile en effet d'oublier les musiques légendaires qui accompagnaient chaque épisode.

Shion



Particulièrement enchanté lorsque j'ai vu le nouvel opening entièrement refait avec une technique de dessin plus moderne, j'ai été assez déçu lorsque j’ai vu qu'après l'opening on avait exactement le même anime qu'auparavant. Alors oui, avant tout, ce n'est qu'une opération marketing pour engranger encore une fois de plus des sous sur cette vache à lait qu'est Dragon Ball et qui n'en finit plus d'être exploité.
Après le coup de bambou, je suis tout de même ravi de retrouver nos super saiyajin dans cette version épurée de tout H.S. vis-à-vis du manga. Surtout, qu'enfin, en France, on peut voir une version non censurée et ça, ça fait du bien.
Ensuite il est agréable d'avoir une meilleure qualité d'image et quelques scènes refaites. J'émettrais juste une déception du côté des équipes de fan-sub françaises qui n'ont pas vraiment suivi pour cette série.

Jezekiel



Un des écrans intermédiaires avec un style moderne comme on aurait aimé avoir
Cette scène si particulière où c'est la seule fois qu'on voit Vegeta avec ces couleurs ...
... a été refaite entièrement pour supprimer ce paradoxe.

 DragonBall Z

Histoire : DragonBall Z fait directement suite à la série DragonBall. En effet, quelques années après la défaite de Piccolo Daimao, Sangoku s'est marié avec Chichi et tous deux ont eu un enfant prénommé Sangohan.
Le jour où Sangoku décide de présenter son fils à ses amis, à la Kaméhouse de Tortue Géniale, s'avère être également celui ou un saiya jin du nom de Radditz arrive sur Terre à la recherche de son frère répondant au nom de Kakarotto. Ce fameux Kakarotto savère être Sangoku et dès lors on apprend les véritables origines de notre héros qui sera entraîné dans une suite de combats plus titanesques les uns que les autres, comme ceux face aux brutaux saiya jin et au terrifique Freezer sur la planète Namek. Mais il aura également droit au retour d'anciennes menaces en la personne du Dr Géro et ses Cyborgs de la défunte Armée du Ruban Rouge.

Jezekiel



DragonBall Z, c'est pour moi LA série manga. Ce fut la première que j'ai découverte grâce au Club Dorothée et depuis mon engouement n'a jamais félchi.
Le ratio humour / combat se retrouve quelque peu inversé par rapport à DragonBall. Effectivement l'humour est beaucoup moins présent pour laisser place à des combats incroyables. Cela fait même dire à certains qu'il y a une rupture avec sa grande soeur ... pourtant tous les ingrédients fondamentaux de DBZ sont mis en place dans DB.
Durant la série on retrouve plusieurs H.S. par rapport au manga qui ne sont pas désagréables. De plus, parallèlement à l'anime, il y a de nombreux O.A.V. d'excellente qualité comme Broly ou Fusion, pour ne citer que ceux là.
Une série toutefois à réserver aux adolescents en raison de sa violence.

Jezekiel



Une série incontestablement mythique ! Quand on pense « manga », on a souvent tendance à penser à cette légende. Pour ma part, je suis fan de cette série depuis ma plus tendre enfance, et je ne m'en lasse toujours pas, de la série, comme des O.A.V., en passant par les téléfilms. Certains épisodes sont réellement incontournables, comme la mort de Krilin poussant Son Goku à se transformer en Super Saïyan... Les rajouts par rapport au manga sont peu nombreux, en exceptant les films, et collent généralement bien à la série : humour, combat et amitié, qui sont le coeur de la série.

Shion



Bien que jeune lors des premières diffusions télévisées de DBZ, j'ai toujours beaucoup apprécié. Même si je n'en suis pas une grande fan, j'avoue néanmoins que l'histoire est accrocheuse et pleine de rebondissement avec l'arrivée des divers ennemis. L'humour et l'action concordent parfaitement, pour notre plus grand plaisir. DBZ est un grand classique qui dépasse largement certaines séries mangas récentes en qualité, non seulement graphique mais également au niveau du scénario. Je pense que la dépoussièrer ne serait pas un mal et pourrait même refaire apprécier cette série cultissime (si elle n'est pas déjà dans la DVDthèque de certains).

Kouraï



Évidemment au yeux de tous et de de façons bien mérité , LA série manga la plus populaire au monde . Pour beaucoup , la série est surtout populaire pour ses affrontements souvent titanesques et le pouvoirs de ses protagonistes capable pour la plupart de détruire des planètes entières . Ce n'est pas faux certes , mais il ne faut pas négliger une histoire au scénario axé tout de même une fois encore sur l'évolution ainsi que la puissance de Sangoku ( et de son proche entourage ) face a des ennemis a chaque fois , toujours plus forts à la base que ce dernier . Ce qui pousseras donc a chaque fois notre héros a se surpasser et dépasser ses limites pour pouvoir espérer les vaincre. Certains en seront affecté et changeront bon gré mal gré ( je pense au génial Végéta pour n'en citer qu'un ) , d'autres marqueront la série de part leur méchanceté et leur puissance phénoménal ( comme Freeza , pour moi le méchant le plus développé et le plus perfide tiré du Manga ). Même si Akira Toriyama a souhaiter maintes fois l'arrêter en cours d 'élaboration à des points précis ( La transformation de Sangoku en Super Saiyan ainsi que le mort de Freeza , puis plus tard celle de Cell ) l'engouement des fans fut telle qu'il la prolongea a chaque fois jusqu'au dénouement que nous connaissons. Pour ma part , le début de cette série jusqu'à l'arc de cercle concernant Namek et surtout Freeza est un modèle scénaristique de toute beauté . Bien sur la suite n'est pas sans qualité , même si je la trouve moins définitive. En parallèle du manga , de nombreux OAV et téléfilms ont encore plus enrichie le matériau de base , regorgeant pour certains de trouvailles superbes . Tant nouveaux personnages ( Broly pour ne citer que lui , un personnage charismatique en diable qui aurait pu allègrement changer la donne si il avait été présent dans le manga originel ) que nouvelles histoires ( les 2 téléfilms superbement sombres et dénué d'happy ending concernant le père de Sangoku et surtout le futur de Trunks ) Que rajouter de plus , si ce n'est qu'il faut vraiment être un extra terrestre pour ne pas connaitre cette série unique qui perduras surement encore longtemps dans le collectif de ceux qui aiment l'action , l'humour et une histoire parfaitement construite.

Clad



Ten Shin Han, Sangoku, Chaoz, Sangohan, Tortue Géniale & Yamcha.
Piccolo
le dragon sacré Shenron
Krilin et le Genkidama
Freezer
Vegeta Super Saiya Jin
le Guerrier Millénaire Broly
Sangohan Super Saiya Jin 2
Sangoku Super Saiya Jin 3
Gogeta

 Evangelion

Histoire : En l'an 2000 une gigantesque explosion se produisit en Antarctique provoquant un cataclysme planétaire. Cette explosion fut alors imputée à la chute d'un astéroïde, alors appelé "Second Impact". Seuls les gouvernements et les personnes haut placées savaient qu'elle en était la véritable cause : un géant lumineux surnommé Adam !
Quinze ans plus tard, l'humanité a survécu au cataclysme et s'est organisée en grandes mégalopoles. Dans Tokyo-3 nous retrouvons le jeune Shinji Ikari que son père a fait envoyer chercher par Misato Katsuragi, après l'avoir abandonné à un tuteur plusieurs années auparavant.
C'est ce jour bien précis que choisit un nouveau géant, appelé ange, pour arriver sur Terre. Tandis qu'il dévaste Tokyo-3 et ses alentours, Shinji découvre le Géofront et la NERV où son père travaille à la reconstruction du monde et son secours. A peine est-il arrivé que Shinji est confronté à l'Evangelion 01, un gigantesque humanoïde de synthèse censé sauver l'humanité des anges.
Contre toute attente, l'evangelion, inerte jusque là, s'active pour protéger Shinji d'une chute de poutres provoquée par les attaques de l'Ange. Bien que réticent, Shinji accepte de piloter l'eva et se retrouve directement projeté au coeur de l'action face à l'ange ... qui n'est que le premier d'une longue liste !

Jezekiel



Evangelion est un anime assez particulier découpé en deux périodes. La première période reste fidèle au premier épisode et voit de nombreux combats entre les evangelions et les anges. Personnellement j'adore ce passage qui représente la très grande majorité de l'anime. La seconde partie est beaucoup plus portée à polémique et je ne l'apprécie pas particulièrement puisque traitant des sentiments intérieurs de Shinji et de questions quelque peu métaphysiques. Après ces épisodes, on en ressort assez décérébré tellement leur rhétorique est complexe et embrouillée.
A noter qu'il existe un film en deux parties faisant directement suite à la série normale et qui regroupe tout ce que l'on peut apprécier, comme ce que l'on peut ne pas apprécier de toute la série.

Jezekiel



Evangelion a connu un succès international énorme, et après l’avoir vu je peux comprendre pourquoi. Tout d’abord, cet anime est très original pour un anime de mechas, avec notamment la complexité des Evas. De plus, ce n’est pas si souvent que les anges sont représentés de cette façon. On peut aussi ajouter que les combats sont très intéressants, se déroulant tous de manière différente, et les personnages sont souvent intéressants, du moins durant les 24 premiers épisodes.
En effet, la différence entre la première partie et la seconde est tellement flagrante qu’on est en droit de se poser des questions… Si la première partie nous présente un anime classique et très sympathique, les deux derniers épisodes nous parle de questions métaphysiques… Si cet aspect ne parait pas déplaisant au premier abord, il faut savoir que c’est incompréhensible, et 40 minutes de ce traitement gâchent le plaisir que l’on a eu avec cet anime.
Des films sont sortis peu de temps après afin de faire une nouvelle fin. Si ces films commencent avec des combats fort sympathiques, ils se terminent avec des travers similaires à ceux des derniers épisodes, en y ajoutant en plus des métaphores sexuelles qui n’ont rien à faire ici.
Cet anime est à voir, je ne pense qu’un avis puisse suffire à se faire une idée claire de l’anime, que ce soit des bons ou des mauvais côtés.

Shion



Commandant Gendo Ikari
Misato Katsuragi
l'EVA-00
Rei Ayanami, pilote de l'EVA-00
l'EVA-01
Shinji Ikari, pilote de l'EVA-01
l'EVA-02
Asuka Langley Sohryu, pilote de l'EVA-02
Adam, le 1er Ange
Sahaqiel, le 10ème Ange

 Fate/Prototype

Histoire : Contrairement à "Fate/Stay Night : Unlimited Blade Works" qui pouvait laisser présager que c'était une suite à "Fate/Stay Night", "Fate-Prototype" porte bien son nom. En effet il s'agit bien là de la toute première version de l'histoire chère à Nasu Kinoko qu'il aurait écrite durant ses années de lycée.
Malgré ses dons certains pour la magie noire, la jeune Ayaka Sajou ne veut pas être impliquée dans la nouvelle guerre sainte qui s'annonce. Pourtant le Servant d'un autre Master, Lancer, compte bien l'y forcer. S'étant introduit chez elle, il la tient à sa merci lorsque son Servant apparaît pour la protéger, un certains Saber à la tenue pas méconnue.

Jezekiel



Cet O.A.V. de douze minutes (dont deux pour le générique) constitue certainement un O.V.N.I. dans l'univers des Fate. Et pour cause, il n'est pas à proprement parler un O.A.V. car il sert de bonus à un bluray de la série "Carnival Phantasm".
D'autre part il n'est pas construit non plus comme un O.A.V.. De par sa nature complètement décousue, il s'apparenterait plus à un trailer annonciateur d'une prochaine série. A l'heure où j'écris ces lignes (le 8 Novembre 2012) rien n'est encore moins sûr.
Concernant le contenu en lui-même, Prototype n'est pas inintéressant de par ses personnages fortement typés présentant des tenues plus cohérentes avec leur nature concernant les Servants et donc moins super héros comme on avait pour Archer ou encore Lancer dans FSN. Enfin, mention spéciale pour le Saber version masculine.

Jezekiel



Portant bien son nom, Fate/Prototype est un O.A.V. qui nous montre ce qu'aurait pu être la franchise si les créateurs avaient développé leurs premières idées. Etant présenté sous forme de longue bande-annonce plutôt qu'une histoire complète, il est impossible de juger le scénario. En revanche, les personnages sont plutôt recherchés pour une ébauche, et je me suis retrouvé à pense ce que donnerait une série avec ceux-ci, voire un crossover avec ceux de la série originale. Je le conseille à ceux qui aiment beaucoup Fate, et qui s'intéressent à ce qu'il y a autour de la série. De toute façon, il ne dure que 12 minutes, vous n'avez rien à perdre.

Shion



Ayaka Sajou
Saber
Lancer
Gilgamesh

 Fate/Stay Night

Histoire : L'histoire est celle de sept magiciens qui convoitent le Saint-Graal ; pour les aider dans leur quête, chacun invoque l'âme d'un héros afin de le servir en tant que Gardien. Il existe sept classes de Gardiens : Archer, Assassin, Berserker, Caster, Lancer, Rider et Saber. Le Gardien et son « Master », qui arrivent à vaincre tous leurs adversaires, voient alors le Graal apparaître devant eux, et peuvent ainsi exaucer leurs souhaits. L'anime commence alors que la cinquième guerre a débuté, malgré le fait que tous les Gardiens n'aient pas encore été invoqués, et qu'un jeune garçon, Emiya Shirou, va se retrouver témoin d'un combat entre deux Gardiens, dont l'un, Lancer, va chercher à le tuer. Après avoir été sauvé une première fois par Tohsaka Rin, le Master d'Archer, l'autre Gardien. Mais cela n'empêchera pas Lancer de rechercher Shirou et de tenter une nouvelle fois de le tuer. Grâce à un heureux concours de circonstances, Shirou va se révéler être le septième Master et invoque Saber, qui affronte alors l'ennemi de son Master ...

Shion



Je découvris cet anime sous les conseils de Shion qui ne cessait d'en faire les éloges. Ma curiosité piquée, je me suis regardé les premiers épisodes et il est juste que cet anime est tout bonnement excellent. Usant d'héros mythologiques, cela ne l'empêche pas de se créer une vraie mythologie propre avec un petit effet simulant un paradoxe temporel (phénomène si cher à mon coeur). Gros point noir : la durée de l'anime ! Trop peu d'épisodes alors qu'on aurait dévoré des yeux bien plus. La nature de Saber et les rapports qu'elle a avec Shirou ne me plaisent pas particulièrement non plus, mais cela relève plus de l'ordre personnel.
Bref ! Combats d'anthologie, Visuels magnifiques, que demandez de plus ? ... Rien !

Jezekiel



Cette série m'a réconcilié avec les adaptations en anime des jeux vidéos. En effet, Fate/Stay Night est une série de 24 épisodes adaptée du visual novel hentai éponyme (jeu video japonais dans lequel le joueur a le choix entre plusieurs propositions, et de ce choix dépendra la suite de l'histoire), bien qu'aucun contenu érotique ne soit présent dans l'anime. La série suit la trame du premier scénario du jeu, qui en contient trois. De nombreux éléments de l'anime, bien que récents, sont désormais inoubliables, tels que le fameux combat entre Archer et Berserker par exemple. Le thème des héros mythologiques, qui a souvent été exploité au cours des dernières années, bénéficie ici d'une nouvelle jeunesse : on se demande à chaque épisode comment les Gardiens vont encore nous surprendre... et ils y arrivent ! Le scénario est vraiment prenant, d'ailleurs, on a plus l'impression de voir un film de huit heures plutôt qu'une série animée. D'un point de vue technique, là aussi, c'est du bon : les dessins et l'animation sont pour ma part très bonnes, les voix excellentes, et les musiques sensationnelles. Les seuls défauts de cet anime sont pour moi Shirou et Sakura, dont je n'aime pas la personnalité, mais c'est vraiment affaire de goût. En bref, je recommande vivement cet anime à tous ceux qui seraient passés devant sans y faire attention.

Shion



Série que j'ai adorée dés le premiers épisode, Fate Stay Night est LE manga fantastique. Alliant à la perfection les scènes de combats aux scènes d'approfondissement relationnel entre les personnages, ce manga est tout simplement énorme ! Graphiquement ... Il n'y a rien de plus honnête, je le qualifierai même de très beau. Certains ne le trouveront pas exceptionnel mais il faut avouer que le travail est bien fait. Les armes sont tout simplement sublimes et les Nobles Phantasmes recherchés si joliment réalisés. Dommage que la série ne comporte que 26 épisodes, on en aurait voulu beaucoup plus ! Les personnages sont intéressants, l'histoire, bien qu'un peu complexe au tout début, est accrocheuse ... Que demander de plus ? L'épisode mythique pour moi n'est autre que le 14. Episode non pas charnière mais qui met en scène, je pense, un des plus beaux combats de toute la série. Magie, combats, humour également, Fate Stay Night est LE manga que je conseille à tous.

Kouraï



le Master Shirou et son Gardien Saber
le Master Tohsaka Rin ...
... et son Gardien Archer.
le Master Islaveil ...
... et son Gardien Berserker.
le Gardien Rider ...
... et son Noble Phantasm : Bellerophon.
le Gardien Lancer
le Gardien Assassin
Gilgamesh et son "Gate of Babylon"

 Fate/Stay Night : Unlimited Blade Works

Histoire : Contrairement à son nom, cet O.A.V. n'est pas la suite directe de la série animée "Fate/Stay Night". L'histoire se situe toujours lors de la cinquième guerre pour le Saint Graâl et met en scène les mêmes personnages.
Rin invoque son servant Archer. Shirou surprend le combat entre Archer et Lancer. Lancer le poursuit et le blesse mortellement puis Rin le soigne. Lancer retrouve Shirou et Saber apparaît pour le mettre en fuite ... mais après, tout change. L'O.A.V. est donc à considérer comme une réalité parallèle.

Jezekiel



Quelque peu destabilisant, le traitement de la série Fate a pourtant son charme. Ici FSN : Unlimited Blade Works est une version où tout est mieux. L'image est plus belle, les effets spéciaux plus recherchés et que dire des protagonistes. Berserker est plus brutal, Archer plus grandiose, Rin et Shirou plus puissants, Kirei plus sournois. Bref, ils sont tous plus !
Alors que la série mettait davantage l'accent sur la relation Shirou/Saber, l'O.A.V. développe les rapports entre Shirou et Archer ... qui est bien plus intéressante à mon avis. Cet O.A.V. constitue donc à mes yeux une alternative très intéressante à la série originale ... même si son format le dessert quelque peu. En effet l'O.A.V. est censé traiter d'une histoire tout aussi longue que celle exposée dans la série et forcément ça se ressent. Pas de temps morts, presque pas de transition, l'O.A.V. ne se préoccupe pas du superflu et taille large.

Jezekiel



Après des années sans nouvelles de la franchise, Une nouvelle adaptation animée du visual novel Fate/Stay Night a été annoncée. Pour information, l'anime Fate/Stay Night est l'adaptation du premier scénario du jeu, tandis que ce film est l'adaptation du deuxième d'entre eux.
Je connaissais déjà le scénario, et je n'ai pas pu m'empêcher d'être un peu déçu par l'adaptation, entièrement à cause du format : un film est bien trop court pour raconter une histoire aussi dense. Ceci dit, ce choix est parfaitement logique, dans le sens où le début est similaire à celui de la première série. Il y aurait donc eu une certaine redondance que les fans n'auraient pas apprécié. En revanche, l'histoire, le développement de la relation Shirou/Archer et les points techniques de ce film, à commencer par l'animation, sont excellents. Je le recommande à tous les fans de la série, mais les néophytes seront sans doute un peu perdus.

Shion



Assassin
Gilgamesh et son Gate of Babylon
Rin invoquant Archer
Saber et son Excalibur
Archer et son Unlimited Blade Works

 Fate/Zero

Histoire : Portant à merveille son nom, Fate/Zero narre les événements relatifs à la précédente guerre sainte, la quatrième, celle dont réchappa Kiritsugu Emiya. L'histoire se place donc avant Fate/Stay Night.
On y découvre bien plus en profondeur cette véritable société de mages et les relations complexes, et parfois sordides, qui lient les différentes grandes familles que sont les Tohsaka, les Matou, les Archibald et les Einzberns ... ainsi que quelques troubles fêtes en la présence d'Emiya, Waver et Ryuunosuke.

Jezekiel




Deux saisons pour un total de 25 épisodes, cet anime est tout simplement excellent et transcende la série des Fate avec un scénario plus recherché, des relations entre les protagonistes mieux travaillées et des personnages que l'on adore détester ou auxquels on s'attache plus que ce que l'on aurait cru.
Alors que la première saison met en place les participants, la seconde les voit s'affronter sérieusement dans des combats à l'issue pour le moins fatale. Ces combats sont vraiment très énergiques et euphorisants que viennent gâcher sporadiquement quelques phases de rhétoriques parfois gavantes. Autre minime point noir : l'utilisation de l'imagerie par ordinateur pour ce qui est de certains plans de la grosse bestiole de fin de saison 1 et du traitement de Berserker en général. Je trouve, personnellement, son utilisation très limite au milieu de dessins de très bonne qualité.
En conclusion, si Fate/Stay Night vous a branchés, il n'y a pas de raisons que vous n'aimiez pas cet excellent Fate/Zero qui, malgré sa fin déjà connue, parvient à conserver du suspens et intéresser le spectateur jusqu'à la toute fin.

Jezekiel



Et voici donc l'adaptation des romans Fate/Zero. Comme son nom l'indique plus ou moins, la série est une préquelle à la série Fate/Stay Night, et plus précisément sur la 4ème Guerre Sainte, celle où Emiya Kiritsugu a participé. On le retrouve d'ailleurs bien différent que ce que Fate/Stay Night le laissait supposer, mais l'évolution du personnages est logique... Comme d'ailleurs celle de toute la série. Là où certaines préquelles comportent des incohérences avec la série de base, on a parfois l'impression que Fate/Zero a été écrite avant Fate/Stay Night. Les autres personnages sont généralement très réussis, et on a également beaucoup d'humour en la présence du duo Waver Velvet/Iskandar. Quant au côté technique, l'animation comme les musiques sont de très bonne facture.
Je conclurai en affirmant que cette série n'a pas à rougir devant son aînée, elle est réussie de bout en bout. Elle est bien évidemment incontournable pour les fans de la licence, mais je la conseille à tous les autres également.

Shion



Kiritsugu Emiya, l'implacable
Irisviel von Einzbern, la superbe
Kirei Kotomine, le sournois
Tokiomi Tohsaka, le rigide
Kariya Matou, le tourmenté

 Final Fantasy VII Advent Children

Histoire : 2 ans après la victoire de Clad et de ses amis sur Sephiroth , la vie reprends petit à petit son cours sur la planète et plus particulièrement autour de Midgard , complètement dévasté par le météore invoqué par Sephiroth . Bien qu'ayant été sauvé de la destruction grâce au sacrifice d'Aerith et son invocation de la matéria blanche , la planète semble en colère , en témoigne l'étrange épidémie qui décime petit à petit sa population et nommé Geostima . Dans ce contexte alarmant , Clad , toujours en proie à ses démons du passé et ayant ouvert un service de livraison avec Tifa , se voit une fois de plus confronté a Jénova et à l'héritage malsain de Sephiroth . En effet , un trio particulièrement dangereux composé de Kadaj , Yazoo et Loz semblent recherché ce qu'il appelle leur " mère " , en fait la tête de Jénova , pour exécuter la " réunion " et ramener sans doute Sephiroth à la vie . Clad n'auras d'autre choix , avec l'aide de ses amis et de ses ancien ennemis les turks , de se mettre en travers de leur chemin pour faire avorter ce projet morbide . Une manière aussi pour lui de faire le deuil de la mort d'Aerith et de vaincre ses démons.

Clad



Rare jeux vidéo ayant bénéficier d'un adaptation cinématographique ( du moins au japon ) , Final Fantasy Advent children est une indéniable réussite technique , en témoigne la beauté de sa réalisation . Au niveau du background , force est de constater que ce long métrage s'adresse avant tout au fidèle du jeu ( nombreux ) qu'au néophyte , qui risquent de ne pas comprendre grand chose a l'histoire et aux motivations des principaux protagonistes . Le fan , lui , se délecteras de retrouver ses héros avec lesquels il a passer de nombreuses heures sur le jeux d'origine . Les clins d'œil fourmillent , tout les personnages répondent a l'appel ( presque tous ) et l'histoire est une parfaite continuité de la conclusion du jeu . Un petit bijou donc , bien que réserver particulièrement aux fans ! A signaler une version " complète " enrichie de 30 min supplémentaire sortit il y a peu en blu-ray , qui enrichie l'histoire et la réalisation ( bien plus " réaliste " , blessures et sang aux rendez vous pendant les combats notamment ^^ ) . Je ne m'en lasse pas , vous vous en doutez bien ! ^^

Clad



Je tiens à le signaler d'entrée, je suis un gros néophyte en matière de Final Fantasy ! Toutefois l'introduction du film m'a bien aidé à me mettre dans le bain.
Je ne m'étendrais pas sur le scénario pour lequel je suis loin d'être assez calé pour le juger, toutefois j'émettrais l'observation suivante que les coupures de flash-back sont un peu chiantes à la longue.
En dehors de ça, les images de synthèse sont tout simplement magnifiques et j'ai bien aimé Ajit avec ses arbres blancs.
Côté actions, les scènes sont tout simplement monumentales surtout le combat contre l'énorme créature ailée. Les combats en motos sont esthétiquement très réussis mais leur longueur nous laisse le temps d'appréhender le fait qu'ils sont hautement improbables.

Jezekiel



Bien que j'apprécie beaucoup la saga Final Fantasy, je préfère signaler que je ne suis pas spécialement fan du 7ème opus, et encore moins de tous ses dérivés...
Bien que le background du jeu original soit retranscrit plutôt fidèlement, je trouve le scénario un peu simpliste comparé à celui-ci...
De plus, je trouve le trio d'ennemis (Kadaj, Yazoo et Loz) franchement pas charismatiques. En revanche, j'ai été agréablement surpris des traitements d'anciens personnages secondaires tels que Reno et Rufus. Revoir la totalité de l'équipe lors du combat contre la nouvelle forme de Bahamut est également grandiose. Par contre, le personnage principal, Cloud, m'a hautement déçu... Dommage.
Parlons maintenant du plan technique, et là, c'est tout simplement bluffant ! Graphiquement c'ets très réussi, et l'animation est très bonne. Quant aux musiques, elles ne sont pas en reste puisque certains des meilleurs thèmes du jeu original, tels que One-Winged Angel, se voient réarrangés de manière tout bonnement magnifiques.
En conclusion, je dirai que ce film est à voir au moins une fois, pour les fans comme les néophytes, sinon pour le scénario, du moins pour les multiples prouesses techniques dont FF VII Advent Children fait preuve.

Shion



Clad , le héros tourmenté.
Jénova , la calamité des cieux.
Tifa , en plein combat.
Le gang de Kadaj.
Reno et Rude , les 2 Turks inséparables.

 Ghost in the Shell

Histoire : Année 2029, les réseaux informatiques quadrillent littéralement le monde, mais ce progrès n'a pas encore balayé nations et groupes ethniques de la surface de la Terre.
Dans le Japon du futur, la section 9 de la police nationale combat le crime informatique et leur route croise celle du puppet master, un parfait inconnu qui pirate les ghosts de nombreux cyborgs.
Le major Kusanagi, femme cyborg ultra-perfectionnée, tourmentée par des questions existentielles, se verra se remettre en question plus elle approchera du puppet master.

Jezekiel



Cet anime est doté d'une qualité graphique indéniable et particulièrement recherchée. On sent dès les premiers visuels que l'artiste est perfectionniste. L'univers bénéficie d'une atmosphère hi-tech très réussie qui sert un scénario particulièrement complexe dans lequel on peut facilement se perdre, dans ce mélange métaphysique de psyché, ghost, conscience et âme.
On notera également un certain côté ecchi, avec les nombreuses apparitions de corps féminins nus, tous cyborgs.

Jezekiel



Impeccablement retranscrit a l'écran avec beaucoup de soin par maitre Mamoru Oshii, cette oeuvre du génial Masamune Shirow interpelle et fais beaucoup réfléchir lors de sa 1 ère vision.
Histoire complexe sur l'âme des cyborgs ou tout être artificiels, le métrage est superbe niveau réalisation et très prenant. De plus, le doublage français est d'une excellente qualité , avec les doubleurs officiels de Sigourney Weaver et d'Arnold Schwarzenegger pour les rôles de Kusanagi et Batou nottament.
Un classique désormais , dont Matrix s'est fortement inspiré. 15 aprés sa sortie, il garde toujours autant de magnétisme !

Clad



le Major Kusanagi en camouflage thermo optique
Kusanagi et Bateau
Kusanagi
l'hôte du Puppet Master
un Tank de la Division 6

 Hagure Yuusha no Estetica

Histoire : Il y a trente ans de cela, un phénomène appelé Syndrome de Samon débuta. Des milliers de filles et de garçons furent invoqués dans un autre monde tout en disparaissant du nôtre. Il existe dans cet autre monde une porte dimensionnelle par laquelle seulement la moitié des disparus parvinrent à rentrer sain et sauf. Étonnement, ceux qui rentrèrent furent toujours capables d'utilier les pouvoirs qu'ils avaient acquis dans l'autre monde, incluant bien évidemment la magie. L'organisation nommée Cocoon est chargée de les guider et les aider à utiliser leurs pouvoirs pour le bien de notre monde. Une zone particulière a été créée pour qu'ils puissent y vivre et aller à l'école. Cet endroit est appelé Babel.

Jezekiel



Design très plaisant, héros charismatique (voire un peu trop) et actions agréables à l'oeil. Comme je le disais, le héros est très charismatique et prend presque toute la place sous les projecteurs. Alors que Miyu, sensée être la fille du seigneur démon, rien que ça, est naïve au possible et avec un caractère très plat ... contrairement à son physique.
Côté scénario, on est en droit de se demander où se dirige très exactement la trame. On a plusieurs ébauches d'intrigues qui laissent successivement et rapidement place aux suivantes et ainsi de suite. C'est un peu comme si on nous en mettait plein les yeux avec un inventaire de possiblités dont regorge cet univers qui s'avère mine de rien assez riche.
Finalement la série (ou plutôt la saison) nous laisse sur un Cliffhanger qui nous donne envie d'en savoir plus.
Comment ne pas évoquer ce qui sera certainement l'attrait à de nombreuses personnes : le côté ecchi omniprésent. Il est très, très rare de passer un épisode sans avoir droit à LA scène ecchi ... genre minimum syndical. Certaines sont ... amenées de façon correcte mais la grande majorité n'est là que pour le plaisir des yeux ... oubliant une quelconque utilité quant au scénario du moment.
Pour conclure, même si les scènes ecchi déservent un tantinet l'anime, c'est un anime à voir !

Jezekiel



Akatsuki Ousawa
Miyu Ousawa
Doumodo Kuzuha & Izumi Chikage
Kaidou Motoharu
Phil Bannet

 Halo Legends

Histoire : Inspiré par la série de jeux vidéo, Halo Legends est un recueil de huit petits O.A.V..
Les deux premiers donnent la part belle à l'I.A. embarquée d'un spartan qui synthétise l'histoire de Halo depuis les foreigners aux humains en passant par les covenants. Le troisième présente un style graphique complètement différent, un style impressioniste pour une histoire centrée autour d'un covenant. La quatrième se concentrera sur une spartan et son histoire par flashbacks successifs. Quant au cinquième il présente un style graphique vraiment excellent mais avec des combats se rapprochant de ceux que l'on peut voir dans Dragon Ball Z. Le sixième O.A.V. sera plus conventionnel et d'un très bon niveau et verra un spartan exécuter l'une de ses missions. A peu près du même genre pour le septième épisode qui verra partir en mission un spartan avec des ODST, un vrai plaisir pour les yeux. Pour finir, le huitième, au style le plus approprié à Halo puisque intégralement en images de synthèse, verra l'infiltration d'une équipe de spartans dans un vaisseau covenant.

Jezekiel



On a ici affaire à un regroupement d'anime façon Animatrix. Ces O.A.V. sont de qualités très diverses mais aussi de durées inégales. Mais le plus dérangeant est le sentiment de foutage de gueule que l'on ressent quand sur un épisode de 16 minutes on a droit à un générique de 6. On peut se demander si cela valait vraiment la peine de l'acheter.
N'ayant joué qu'au premier Halo et au troisième de façon anecdotique, les deux premiers s'avèrent assez utiles pour avoir un aperçu de l'histoire complète de la saga. Mais dès le troisième on tombe dans du n'importe quoi pour cette pseudo histoire de samouraï covenant dont le style graphique est déroutant. On aura droit à un autre ovni avec le cinquième d'entre eux. Une sorte de Dragon Ball Z sauce Halo avec un humour inadapté, tous les deux inappropriés. Toutefois les O.A.V. restants sont de bonnes facture et remontent sans problème le niveau.
Arrivé au huitième certains pourront regretter que les sept premiers n'aient pas été traités de la même façon.
En conclusion une "compilation" qui se laisse voir sans être inoubliable.

Jezekiel



Étant un joueur d'Halo 1 et 2 sur la première génération de Xbox (n'ayant pas sa grande sœur, je ne connais donc pas la suite et la tenue des opus suivants), j'ai beaucoup apprécié ces 7 histoires gravitant autour de cet univers. Même si les OAV sont de qualités inégales, autant sur le plan esthétique que scénaristique, le fan même lambda pourras aisément y trouver son compte. Surtout que de grands noms y ont été associer, autant pour leur conception que pour leurs origines (je pense surtout au maitre Mamoru Oshii).
Il y en as donc pour tout les gouts autant scénario (de la bonne baston assez loufoque dans "Odd One Out / L'exception") que visuellement (le magnifique "The Package / Le paquet" et sa réalisation superbe et son rythme nerveux). Ce dernier est mon préféré avec son petit clin d'œil au gamer avec son passage en vue subjective). Mention aussi pour le visuel original de "The Dual / Le Duel".
Personnellement donc, du très bon me concernant et, je pense, pour tout fan du Spartan, ou des Grunts ^^.
Pour les autres, un recueil inégale et certes sans doute oubliable mais qui mérite que l'on s'y attarde un peu.

Clad



l'I.A., la conteuse des 2 premiers O.A.V.
le Covenant de l'O.A.V. 3
la Spartan de l'O.A.V. 4
l'objet de la mission dans l'O.A.V. 6
l'un des Spartan de l'O.A.V. 8

 Highlander

Histoire : Dans un futur proche, la population sera décimée par un virus, 80% mourront tandis que les 20% restants devront faire face à de terribles inondations, à la pollution et même au danger que représente les mutants suite à de mauvaises manipulations génétiques.
C'est dans ce chaos que Colin MacLeod traverse une partie de New York sur un canot pneumatique et s'introduit dans un campement de loubards mutants. A son approche, l'immortel, maître de ces lieux, sort de son repaire. Il s'agit d'un gigantesque mutant maniant une tronçonneuse au moins aussi grande que lui. Bien qu'il ne soit pas celui qu'il cherchait, l'affrontement est inévitable. Néanmoins il ne dure que quelques secondes avant que Colin ne décapite son adversaire. Il est maintenant temps de reprendre sa route et de traquer le meurtrier de sa femme d'il y a deux mille ans.

Jezekiel



Ayant vu les quatre premiers films, la série tv et quelques épisodes du dessin animé, je ne m'attendais pas à grand chose d'original avec cet anime ... et je n'ai été ni déçu, ni surpris. Cet anime met donc en scène un quatrième MacLeod (après Connor, Duncan et Quentin) qui n'a de MacLeod qu'un nom d'adoption. Particulièrement bourrin et pittbull, Colin n'aura de cesse de poursuivre durant 2000 ans Marcus, le tueur de sa femme.
Rappelant quelque peu l'ovni que fut le second film, on a donc droit à un mélange de Highlander "traditionnel", de Mad Max et de quelques autres genres mineurs pour nous servir une pâtée sans saveur trop souvent entrecoupée par des flashbacks à rallonge et lourdingues. En bref, un O.A.V. parfaitement dispensable et qui ne manquera nullement à votre vidéothèque.

Jezekiel



Colin MacLeod
Marcus
Dahlia
Amergan
le Service de Sécurité de New York

 Highschool of the Dead

Histoire : La rentrée vient de s'effectuer dans un lycée normal du Japon. Takashi Komuro, un adolescent, se pose dans les escaliers extérieurs donnant sur la cour afin de méditer et se morfondre. En effet, alors qu'ils avaient fait le serment de se marier, son amie d'enfance s'éloigne de lui au profit d'un autre. Sa morosité est interrompue lorsqu'il aperçoit un homme à l'aspect louche faire du raffût contre la grille d'entrée. Quatre professeurs partent à sa rencontre. Parmi eux le prof de sport ; il empoigne l'individu à travers la grille, ce qui lui vaut de se faire mordre. Il se tord de douleur au sol durant plusieurs secondes avant de s'immobiliser, mort. Malheureusement il revient à lui et mord un autre professeur. Ayant vu toute la scène, Komuro se doute que ça va vite dégénérer. Il court vers sa salle de cours et enjoint brutalement son amie, Rei, à le suivre. Hisashi, son meilleur ami, ainsi que l'élu du coeur de Rei, les accompagne. Ils ont tout juste le temps de s'armer d'une batte de baseball et d'un manche à balais que le chaos se répand à travers le lycée comme une traînée de poudre.

Jezekiel



S'annonçant comme un bon film ... anime de zombies, on peut être quelque peu désarçonné de le voir couplé à du ecchi très appuyé, trop appuyé par moment et lorgnant du côté du hentaï à quelques rares passages.
Le mélange prend plutôt bien mais arrivé à la moitié de l'anime, on tombe sur trois épisodes où la sauce tourne au vinaigre et devient même limite chiant de par ses scènes de nudité tirant sur la longueur et trop exagérées. Heureusement, après cet incident de parcours, l'anime reprend son rythme habituel.
Aux douze épisodes initiaux, on peut y ajouter un OAV servant de treizième épisode mais complètement dispensable. Inutile à l'histoire, il est à réserver aux addictes d'ecchi qui n'en ont pas eu assez.
Le style graphique est très plaisant à l'oeil, le scénario basé sur la survie amène des configurations et situations intéressantes ... parfois quelque peu gâchées par trop de ecchi et de sentimentalisme dégoulinant. Toutefois, c'est un anime qui se laisse voir.

Jezekiel



Takashi Komuro
Rei Miyamoto
Busujima Saeko
Kota Hirano et Saya Takagi
les parents de Takagi dans une des nombreuses scènes de combat

 IronMan

Histoire : Le multimilliardaire Tony Stark se rend au Japon pour affaires et plus particulièrement pour y bâtir une seconde station Arc. Ayant pris sa retraite en tant qu'IronMan, il déclare à la presse venue l'accueillir à l'aéroport que de jeunes gens sont formés pour prendre sa relève avec le modèle IronMan DIO.
Lors de l'annonce publique de la construction de la station, Stark décide d'offrir au public japonais une démonstration en personne de la nouvelle armure. Mais un problème survient et Stark se crashe. Tony s'en sort indemne et l'équipe de pilotes effectue des tests sur l'armure pour déterminer d'où vient le problème.
Alors que la batterie de tests se déroule sans problèmes, le testeur est confronté au même problème mais en bien plus grave ... il tue les deux autres pilotes après avoir subi un lavage de cerveau éclair. Afin de stopper le forcené, Stark est alors forcé de reprendre du service avec son armure traditionnelle. A peine l'a-t-il maîtrisée qu'un robot inconnu apparaît et entame de suite le combat avec IronMan. Le robot s'avère être Scorpio, un puissant guerrier du Zodiaque ...

Jezekiel



La série n'est constituée que de douze épisodes ce qui contraint à une intrigue accélérée et ça se sent. Les ficelles du scénario sont parfois grosses et le chara design aide énormément à identifier rapidement le vrai méchant de la série.
Autre problème avec le chara design est celui de Stark lui-même. Pour ma part le voir sous les traits d'un gros pervers m'a demandé un certain temps d'adaptation et le comportement du personnage exagéré envers la gente féminine n'a pas vraiment aidé.
Dernier point négatif, le thème principal de l'anime (et du générique) revient trop souvent ce qui trahit une diversité musicale très pauvre.
En dehors de cela, l'anime se laisse voir surtout grâce aux armures franchement belles à regarder (le principal intérêt à mes yeux). On appréciera également la venue d'un certain griffu en guest star.

Jezekiel



Tony Stark
IronMan
IronMan DIO
Ramon-Zero
Scorpio

 Jojo's Bizarre Adventures

Histoire : Anglettere, 1868, le couple Brando découvre au fond d'un ravin le carrosse de la famille Joestar. Le couple ne voulant que piller ce qu'il pouvait, se retrouve bien malgré lui le sauveur de l'enfant et du père, ayant tout juste repris connaissance. Joestar promet alors de ne jamais oublier sa dette envers lui et lui confie une lettre qu'il pourra utiliser lorsque le besoin s'en fera sentir.
Douze ans plus tard, les deux familles se sont perdues de vue. Le père de famille Joestar vit dans une luxueuse demeure avec son fils Jojo tandis que le père Brando agonise à l'indifférence de son propre fils, Dio. Juste avant de mourir, son père lui confie néanmoins la fameuse lettre et lui demande d'aller voir les Joestar pour qu'il atteigne des sommets grâce à son intelligence.
Son père mort, Dio se rend à la demeure des Joestar où le père l'accueille à bras ouverts et lui donne les mêmes privilèges que ceux de son propre fils. A peine arrivé, Dio mettra tout en œuvre pour pourrir la vie de Jojo et tout s'accaparer.
Toutefois leurs destins seront bouleversés à jamais lorsqu'un mystérieux masque de pierre se retrouvera entre eux deux.

Jezekiel



En voici un nom mythique ! Ce nouvel anime qui en découle est pour le moins extravagant. On a au cours des épisodes de nombreux effets sur des onomatopées donnant un style de véritable manga papier animé. A côté de cela nous avons des personnages plus exhubérants et extravertis les uns que les autres nous faisant partager toutes leurs réflexions, toutes leurs pensées, ce qui désappointe quelque peu. Mais nous avons également des tonnes d'explications sur les retournements de situation hautement improbables ... dont même les personnages n'en reviennent pas. Ils estiment donc qu'ils doivent nous l'expliquer ... pour y croire eux-mêmes.
Et des explications nous en avons nous-mêmes bien besoin tellement les antagonistes sont hors normes. Supposés être des vampires, ils n'en ont que le nom, les canines et la soif ... mais c'est à peu près tout. D'énormes libertés, pour ne pas dire des véritables trangressions, sont prises ... et mieux vaut donc, pour les inconditionnels des dents longues, oublier qu'ils sont sensés être des vampires. Entre le cerveau qui se trimballe tout seul ou l'un des personnages qui suce le sang via ses ... cheveux ; mieux vaut effectivement ne pas être trop rigide avec le concept.
Avec tout cela, nous obtenons un mélange très étrange, particulier mais qui parvient à devenir attachant si on fait un effort.
Ne traitant que les deux premières parties du manga, on peut envisager voir un jour ou l'autre une seconde saison lorsqu'on voit comment se finit le 26ème et ultime épisode ... ce qui ne sera pas pour me déplaire, loin de là.

Jezekiel



Bien que le nom de ce manga soit très connu, l'oeuvre en elle-même l'est moins. En effet, hormis un jeu vidéo et une version animée (fort raccourcie) tous deux adaptés de la partie 3, la France n'a pas eu grand chose chose à se mettre sous la dent concernant Jojo, hormis les mangas de J'ai Lu, qui n'ont pas tellement bien marché...
Ce manga culte a donc enfin la chance d'obtenir une version animée complète. Le style est assez old-school, entre les onomatopées visibles à l'écran et les personnages qui décrivent les choses incroyables se passant sous nos yeux (mention spéciale à Speedwagon, ce n'est sans doute pas pour rien qu'il sera le narrateur du prochain jeu sur Jojo). Néanmoins, la qualité de dessin et d'animation est bien au rendez-vous, et correspond parfaitement à ce qu'on recherche aujourd'hui dans un anime.
L'histoire est très prenante et on se prend facilement à s'attacher à Jonathan, et à détester Dio. Les vampires sont également au rendez-vous, mais il ne faut pas s'attendre à une vision classique de la créature. L'auteur a en effet pris beaucoup de libertés sur les mythes. Si on peut passer outre celà, on s'émerveille devant une telle imagination, car les combats deviennent réellement imprévisibles.
A l'heure oiù j'écris ces lignes, seules les deux premières parties du manga sont adaptées, mais la troisième viendra certainement, étant donné sa popularité, le succès de la vente des DVD et Blu-Rays au Japon, et bien évidemment le teasing à la fin du dernier épisode.
Je recommande cet anime aux fans de Jojo, bien évidemment, mais également aux fans de shônen en général. Celà leur permettra de découvrir ce monument du manga, qui continue aujourd'hui après plus de 25 années...

Shion



Jonathan Joestar
Dio Brando
Joseph Joestar
Caesar Zeppeli
Esidisi, Cars & Wham

 the King of Fighters : Another Day

Histoire : Duke, le chef du groupe "Mephistopheles" a été vaincu, le quartier de South Town est maintenant sous le contrôle des frères Alba et Soiree.
Cependant, les jours de paix ne dureront pas. Une nuit, alors qu'Ash Crimson courait après le pouvoir de Kusanagi Kyo pour réunir les Trois Trésors Sacrés (et après avoir récupéré ceux de Kagura Chizuru et Yagami Iori), ses flammes vertes se déchaînèrent sur South Town et provoquèrent un gigantesque incendie.
En l'abscence d'Alba, Soiree décide de protéger la ville. Il rencontrera Athena et Maï mais également Iori. Ce dernier étant à la poursuite de Ash.
Tous les ingrédients sont alors réunis pour que cette nuit s'embrase au-delà de l'incendie en lui-même. En dehors de cette trame principale, deux autres se poursuivent en parallèle mettant en scène d'une part Rock Howard, Terry Bogard et Billy Kane ; et d'autre part K', Maxima, Ralf, Clark et Leona.

Jezekiel



Cette série de 4 O.N.A. (Original Net Anime) est assez croustillante pour tous les amateurs des jeux King of Fighters. L'animation est excellente, les dessins soignés même si le design de certains personnages est un peu extrême. Je pense par exemple à Ralf et ses bras de catcheurs dont les muscles ne semblent pas si saillants dans les jeux vidéo.
Petite déception toutefois : la durée des épisodes. Déjà pas bien longs, ils sont quasiment mangés de moitié par les génériques, ce qui est un peu énervant. A noter également que le déroulement de l'histoire est un peu chaotique et ce n'est qu'une fois les 4 épisodes vus que nous avons toutes les pièces du puzzle. Enfin cela ne m'a pas empêché de passer un bon (et court) moment devant ces O.N.A.^^

Jezekiel



SNK a décidé de commander ces 4 O.N.A. pour faire office de transition entre KoF : Maximum Impact et KoF : Maximum Impact 2. Grand bien leur en a pris. En effet, il est tres agréable pour un fan de voir Iori, Alba ou Leona en anime. L'animation est tres bonne, les dessins ne sont pas mauvais non plus, sans pour autant être parfaits. Le scénario est un peu difficile à comprendre vu que chacun des trois premiers épisodes suit une trame différente et que le dernier sert en quelque sorte de lien.
Le bémol de l'anime (oui car il y en a bien un) est la durée. Seulment 4 épisodes de moins de 10 minutes chacun... dont le générique prend 3 minutes à chaque fois ! Autre petit point noir, il s'agit surtout d'un anime fait pour les fans de la série, les néophytes auront du mal à s'y retrouver et donc auront tendance à passer leur chemin. Mais sans être une encyclopédie de KoF, j'ai pu comprendre et passer un bon moment devant cet anime.

Shion



Familier sans toutefois être un fan invétéré des volets King Of Fighter, je dois reconnaitre que c'est toujours un plaisir de voir un animé enrichir l'univers d'un jeu vidéo.
Bien qu'étant centré sur les volets Maximum Impact, cette série de 4 O.N.A est un véritable petit plaisir à suivre, malgré sa durée incroyablement courte pour chaque épisode.
La réalisation est appliquée, et le design des personnages est respecté, jusque dans leurs gestuelles de combat et leurs pouvoirs. Petit bémol sur certains personnages masculins, musclés comme de véritable golgoth. Pour le reste, du caractère psychopathe de Iori au charisme toujours magnétique de Kyo, c'est encore une fois un petit plaisir, certes éphémère, pour tout fan qui se respecte.
Pour les néophytes à la saga de S.N.K, c'est une autre histoire qui mérite toutefois que l'on y accorde un peu d'attention.

Clad



Soiree
Alba
Iori Yagami
Clark, Ralf et Leona
Kyo Kusanagi

 King of Thorn

Histoire : Le 12 Décembre 2012, l'O.M.S. ordonne à tous les gouvernements de prendre des mesures d'urgence pour contenir le Syndrome de Solidifcation Cellulaire, plus connu sous le nom de "Medusa". Cette pandémie fatale crée un véritable vent de panique par-delà le monde.
Impossible à détecter, elle est également incurable. C'est alors que le président de Venus Gate, Ivan Vega, propose une solution : le Cold Sleep. Une entrée en cryogénisation qui stopperait le développement de la maladie jusqu'à ce que la science trouve enfin un remède.
Mais les places sont limitées, ainsi une loterie internationale est organisée pour désigner les 160 chanceux. Le 13 Octobre 2015, ils pénètrent le siège de Venus Gate, en Ecosse, et s'endorment pour un sommeil qui peut durer jusqu'à cent années.
A leur réveil ils constateront à leurs dépens que le monde a bien changé.

Jezekiel



Excellent O.A.V. d'1h50 que voici ! La mise en place du contexte est soignée et non précipitée. Ils prennent bien la peine de nous montrer tous les enjeux qui en découlent. Via la jeune Kasumi, on appréhende bien l'hésitation des sujets à entrer en cryogénisation avec tout ce que cela implique, le tout pour un rendu très empathique.
L'intrigue est particulièrement recherchée et distillée habilement de façon à conserver notre curiosité éveillée jusqu'au bout. Même si les éléments nous viennent au fur et à mesure de façon très claire au début, il faudra vraiment ne rien lâcher et ne pas perdre le fil sur la fin de l'anime qui se complexifie grandement et rapidement.
Le seul bémol est ce parallèle un peu lourdingue sur toute la durée de l'O.A.V. avec le conte de "la Belle au Bois Dormant".

Jezekiel



Shizuku & Kasumi
Marco Owen
Ron Portman
Venus Gate envahit par les ronces
des Demonsaurus

 Mugen No Junin

Histoire : Dans un Japon féodal, le samouraï Manji, surnommé "le tueur des 100", tente de se repentir d'avoir tué cent innocents en décidant qu'en retour il pourfendra mille malfrats.
Pour cela il compte bien évidemment sur les capacités de son hôte, un ver introduit dans son corps des années plus tôt qui guérit toutes ses blessures.
Une première occasion s'offre à Manji de faire ce qu'il a décidé en la personne de la jeune Rin. Cette jeune fille désire ardemment exécuter les assassins de son père et de sa mère, membres de l'Itto-ryuu, une école de samouraïs désirant unifier par la force toutes les écoles sous leur bannière, dussent-ils employer des armes "barbares" venant de l'occident.

Jezekiel



Excellente série de samouraï mêlant le fantastique à un univers de japon médiéval qui me plait tant. Outre la capacité de se régénérer, Manji dispose de nombreuses et diverses armes blanches sur lui dont celles des ennemis qu'il a abattus.
Le chara design est vraiment excellent et nous observons de nombreux personnages aux styles et psychologies très variés. Ainsi on se surprend presque à apprécier Kawakami Araya pourtant membre de l'Itto-ryuu ou encore la belle plante vénéneuse qu'est Otono Tachibana Makie, les deux seuls à avoir tenu Manji en échec.
Attention toutefois, âmes sensibles s'abstenir car les personnages se complaisent à déverser des hectolitres de sang XD

Jezekiel



Manji et Rin
les membres de l'Itto-ryuu
Anotsu Kagisa
Kuroi Sabato, l'assassin du père de Rin
Otono-Tachibana Makie

 Persona Trinity Soul

Histoire : A notre époque, au Japon, l'officier Ryou Kanzato assiste à la remontée d'un submersible d'opérations vide. Revenu à son bureau, il fait son rapport par téléphone et dit ne pas être certain que cet événement ait un rapport avec l'incident Reverse. Juste après avoir raccroché, le médecin légiste lui confie que l'autopsie du nouveau Reverse ne révèle rien de plus que les deux précédents cas.
Plus tard dans la journée, la police retrouve Katayama, un policier, à l'état de légume. Il semblerait qu'il ait assisté à un reverse d'une personne. Le nom de cette personne apparaissant sur une mystérieuse liste en possession de Ryou. Désireux de savoir ce qu'il en est d'un autre lycéen sur sa liste, il appelle les policiers qui en avaient la garde mais aucun d'eux ne répond. Ryou décide alors de se rendre sur les lieux au plus vite. Il y aperçoit un homme brutalisant une jeune fille. Soudain un double éthéré de l'agresseur apparaît et force le double de la jeune fille à sortir. Le double de l'agresseur commence à tuer le double de la jeune fille. Ryou intervient et use de son propre double éthéré pour combattre l'agresseur, le mettre en fuite et sauver la jeune fille.
Le soir venu, Ryou retrouve ses deux frères cadets venus le voir, Shin et Jun, sur le seuil de sa maison et les accueille froidement. Plus tard dans la soirée Shin sort prendre l'air et tombe sur l'agresseur. Souffrant depuis sa rencontre avec Ryou, le malfrat libère son double qui tend la main vers Shin. Soudain une lame sort du corps de Shin et coupe la main du double. A la grande stupéfaction de Shin un double éthéré ne tarde pas à sortir de son propre corps. Son double, son persona, combat et détruit celui du malfrat. Ce dernier est rejoint alors par deux nouveaux individus. L'un d'eux pourchasse Shin dont le persona affronte celui de son nouvel agresseur avant de l'élever dans les cieux et le ramener chez lui. Ereinté, Shin s'endort sur le plancher.

Jezekiel



La plupart du temps on fait d'un manga un jeu vidéo. Ici c'est l'inverse ! Persona Trinity Soul prend la suite du jeu vidéo "Persona 3" dont il reprend le scénario dix ans plus tard.
Le mystérieux est la pierre angulaire de cet anime. Parfois franchement bizarre mais toujours spectaculaire. Les dessins sont vraiment splendides. Les scènes d'actions sont particulièrement bien réussies et nous en mettent plein les mirettes avec des persona aux designs recherchés et au rendu éthéré / translucide exceptionnel !
Bien que le héro de cet anime est incontestablement Shin, on ne peut s'empêcher de vouloir en savoir toujours plus quant à son frère cadet Jun aux facultés hors du commun même pour un possesseur de persona.

Jezekiel



Ryou Kanzato
Shin Kanzato
le Persona de Shin Kanzato
Jun Kanzato
Soutarou et son Persona

 Sacred Seven

Histoire : Il y a 17 ans, des météores sont tombés sur Terre. A l'intérieur furent trouvés sept types de cristaux extra-terrestres possédant des pouvoirs particuliers et capables d'altérer l'A.D.N. humain et de causer des mutations ; ils furent appelés les Sacred Seven.
De nos jours, le jeune Arma Tandoji griffonne tranquillement une carte chez lui lorsqu'il entend une explosion. Il sort sur son balcon et voit un bateau en feu sur la rivière. Soudain son regard change et il est pris d'une violente crise, comme s'il luttait contre une transformation indésirable.
Le lendemain matin, la jeune Ruri Aiba et son majordome Kagami accostent les restes du navire, navire qui transportait une statue de Persée intitulée "l'Oeil d'Euryale".

Jezekiel



Manga très plaisant à voir, sans prise de tête. On devine assez vite le méchant, dès sa première apparition, pour les plus perspicaces, et l'évolution des personnages est assez prévisible.
Pas de surprises donc dans cet anime ... mais c'est bien fait et on ne se lasse pas. Néanmoins on notera le commando de super servantes tout à fait dispensable et souvent, pour ne pas dire à chaque fois, too much !
On ne manquera pas non plus de noter les Opening et Ending de très bonnes factures et donnant une pêche incroyable !

Jezekiel



Arma Tandoji
Kagami & Ruri Aiba
les Super Servantes
Kijima Knight
la Subordonnée de Kenmi

 Saint Seiya

Histoire : Lorsque la Terre est en danger, la déesse antique Athéna se réincarne en être humain, dans son Sanctuaire. Mais le Grand Pope, qui régit le Sanctuaire en l'absence de la déesse, tente de tuer Athéna, alors nourrisson, qui ne doit son salut que grâce à l'intervention d'Aioros, chevalier d'or du Sagittaire. Celui-ci confie l'enfant et son armure à Mitsumasa Kido, un touriste japonais, qui se révèle être l'homme le plus puissant d'Asie économiquement parlant.
Treize ans plus tard, un tournoi est organisé par Saori Kido, la petite-fille de Mitsumasa, entre dix jeunes chevaliers de bronze, dont Seiya, Shiryu, Hyoga et Shun. Mais le tournoi est interrompu par le dixième chevalier, Ikki du Phénix, à la tête des chevaliers noirs, qui volent l'armure d'or et défient les autres chevaliers de bronze ... Ces derniers vont les affronter, ainsi plus tard que les chevaliers d'argent envoyés par le Pope pour les exterminer. Nos héros vont ensuite s'attaquer directement au Sanctuaire, rejoints par Ikki, et y découvriront la véritable identité du pope ainsi que ses motifs.
La saga du Sanctuaire prend alors fin, mais la terre n'est pas à l'abri ; ainsi nos héros iront combattre en Asgard, au Sanctuaire sous-marin de Poséidon, puis aux Enfers, afin de sauver le monde.

Shion



Saint Seiya est l'une des deux séries phares qui ont bercé mon enfance. Elle prône la perséverance et le dépassement de soi ainsi que des qualités humaines indéniables.
La série animée connait un nouvel essor avec de nouveaux épisodes d'une qualité visuelle époustouflante comparés aux anciens épisodes. Bien que Saint Seiya soit une série cultissime, elle est particulièrement mal desservie par une V.F. des plus déplorables, et ce encore de nos jours, avec les nouveaux épisodes. C'est pourquoi je recommanderais à quiconque de les voir en V.O.S.T.Fr. pour ne pas gâcher le plaisir par des traductions très approximatives de prétendus professionnels.

Jezekiel



Bien qu'ayant une vingtaine d'années, cette série a toujours un succès immense, et les fans de la première heure, tels que moi, l'apprécient toujours autant. La qualité des anciens épisodes était très bonne pour l'époque et a relativement bien vieilli. La série animée comporte un certain nombre de rajouts par rapport au manga, plus ou moins bien trouvés, mais toujours très intéressants. La série possède également la plus belle saga H.S. que je connaisse, à savoir Asgard. Cette série prône énormément de qualités telles que l'amitié, la fidélité et le dépassement de soi, pour ne citer qu'elles. Pour finir, elle m'a incité à m'intéresser aux diverses mythologies depuis mon plus jeune âge.

Shion



Bien que la série soit plutôt ancienne, la qualité graphique et le scénario ont, depuis la première heure, étaient accrocheurs. Etant un shonen, on aurait pu penser à un remix de « Ken, le survivant de l'enfer » où les combats étaient sanglants et plutôt déconseillés aux enfants. Cependant, Saint Seiya est tout ce qu'il y a de plus disponible, autant pour les petits que pour les grands, je pense qu'il y a plusieurs dimensions de compréhension, cela permettant d'apprécier autant la série étant enfant qu'adulte. C'est donc une série incontournable qui peut se découvrir à tout âge.
Fan depuis mon enfance, l'arrivée des nouveaux épisodes pour le chapitre Hadès a tout simplement été un pur bonheur. Graphiquement, c'est une merveille ! Les armures et les personnages n'ont jamais été aussi bien réalisés. Les spectres sont tout simplement géniaux sans parler des chevaliers d'or qui n'ont pas perdu de leur superbe ! (qui en ont même gagné si l'on regarde Shaka de la Vierge). Le nouveau chapitre a également permit la découverte de personnages seulement sités dans le chapitre du Sanctuaire, tels que Shion du Bélier, l'ancien grand Pope, ou Dohkko de la Balance qui sont des figures emblématiques de Saint Seiya (du moins, pour mon avis personnel). Bref, les points forts de Saint Seiya ne sont plus à démontrer et les points faibles ... Je rejoindrai l'avis de Jezekiel que le seul défaut est la VF, les VOSTRF ayant beaucoup plus de charme non seulement auditivement mais également au niveau des traductions.

Kouraï



Hyoga du Cygne pleurant la disparition de son maître.
De haut en bas et de gauche à droite : Ichi de l'Hydre, Nachi du Loup, Marine de l'Aigle, Jabu de la Licorne et Shina d'Ophiucus.
Retrouvailles entre Aioros du Sagittaire et Aiolia du Lion.
Shaka de la Vierge face à trois Chevaliers d'Or ressuscités.
Sion du Bélier face à Dohko de la Balance.
Syd de Mizar, guerrier divin de Zeta.
Bian de l'Hippocampe.
Eaque du Garuda, Minos du Griffon et Rhadamanthe du Wyvern.
Le dieu Hadès.
Toma d'Icarus.

 Saint Seiya - The Lost Canvas

Histoire : En Italie, au XVIIIème siècle, l'impulsif Tenma est le meilleur ami du gentil Alone, jusqu'au jour où une inondation menace leur village. Tenma se rend compte qu'elle a été provoquée par un énorme rocher obstruant la rivière. Le jeune homme tente de détruire ce rocher, et finit par y parvenir après avoir puisé dans son cosmos, sous les yeux ébahis du chevalier Dohkô de la Balance. Celui-ci décide alors de le prendre sous son aile, afin qu'il devienne chevalier d'Athéna. Au Sanctuaire, Tenma retrouve Sasha, la soeur d'Alone, qui se trouve être la réincarnation de la déesse Athéna. Entretemps, Alone rencontre une étrange femme, Pandore, qui va peu à peu lui faire comprendre qu'il est la réincarnation du dieu des Enfers, Hadès, l'ennemi d'Athéna. Hadès détruit alors son village natal, et Tenma de Pégase, Yato de la Licorne, Dohkô de la Balance, Shion du Bélier, et d'autres chevaliers y sont envoyés pour combattre. Les deux anciens amis vont devoir s'affronter ...

Shion



Depuis le temps qu'on l'attendait... Presque depuis la parution du premier volume du manga ! En effet, bien que Kurumada ne soit pas aux commandes de cette série, the Lost Canvas est dans la lignée de la série classique : les Spectres d'Hadès, les chevaliers d'Or. L'animation est superbe, tout comme les dessins. Nous avons également une OST très sympathique, même si elle ne détrônera pas les magnifiques oeuvres de Yokoyama dans mon coeur. Petit détail : l''armure de Pégase est identique à son homologue du manga cette fois, et ce n'est pas pour me déplaire.

Shion



Enfin ! Enfin on va en savoir plus sur la précédente guerre sainte à laquelle ont participé Dohko et Sion et de laquelle Hadès semble avoir un souvenir particulier du chevalier de Pégase de l'époque. Quel plaisir de redécouvrir l'univers des chevaliers à une autre époque et avec une multitude de nouveaux personnages. Tout est très cohérent avec la série classique jusqu'à la phrase énigmatique de Poséidon. Le scénario est palpitant et chaque personnage de premier plan possède un vrai background, ce qui lui donne une profondeur inédite. Par contre n'espérez pas retrouver une bande de joyeux bronze saint aux commandes. Même si le héros est Tenma, bronze saint de Pégase, il est accompagné d'un seul autre bronze saint, celui de la Licorne, Yato. Ce tandem approfondit un peu plus la rivalité qu'il y avait eue entre Seiya et Jabu au début de la série classique. Bref un anime de toute beauté, superbement bien servi par des graphismes plus modernes et des effets spéciaux du même acabit.

Jezekiel



Tenma de Pégase.
les silver saint de la Flèche, de Cerbère, du Chien Géant et du Cocher envoyés enquêter en Italie.
le Grand Pope entouré de onze des gold saint.
Sasha, réincarnation d'Athéna à cette époque.
Alone acceptant de devenir pleinement l'hôte d'Hadès.

 Seirei No Moribito

Histoire : Dans un Japon Médiéval à mi-chemin de l'heroic fantasy et donnant un air authentique, on fait connaissance de Balsa, jeune lancière de retour à Yogo après 2 ans d'absence.
Empruntant un pont, elle aperçoit un carrosse royal tiré par un boeuf basculer dans la rivière en contrebas. Balsa saute de suite à l'eau pour y secourir le jeune prince. Alors qu'ils sont sous l'eau le carrosse et le boeuf leur arrivent droit dessus quand soudain une bulle d'énergie protectrice les enveloppe et les protège. Le danger écarté, Balsa ramène l'enfant sur la berge tout en se demandant ce qui s'est passé. Vite rejointe par les gardes du prince, elle est vivement écartée. Balsa reprend alors sa route comme si de rien n'était.
Le soir venu, Balsa est confrontée à quatre guerriers. Ceux-ci sont envoyés la chercher sur ordre de sa majesté la Seconde Impératrice. Au palais, Balsa reçoit toutes les faveurs : bain, banquet pour elle seule. La nuit venue, l'Impératrice et son fils, le prince Chagum, la rejoignent dans sa chambre. L'Impératrice la remercie en personne d'avoir sauvé le prince mais lui demande de fuir avec le prince et de le protéger jusqu'à la fin de ses jours de sa Majesté Impériale. Balsa s'étonne de cette demande et l'Impératrice lui apprend que récemment le prince a formulé des mots étranges dans son sommeil et l'astronome consulté a révélé que l'enfant devait être possédé par quelque chose. Lorsque l'Empereur eut connaissance de cette information, il ordonna l'assassinat secret du Prince, pensant qu'il était possédé par un démon aquatique.
Balsa acceptera de protéger l'enfant et s'enfuira du palais profitant d'un gigantesque brasier couvrant leur fuite.

Jezekiel



Ceux qui recherchent ici un anime bourré d'actions et d'effets spectaculaire devraient passer leur chemin. En effet sur les 26 épisodes qui composent cette série, fréquents sont les épisodes "calmes", préférant à l'action des leçons de vie qui apprendront au jeune prince Chagum ce qu'est la vraie vie hors de la protection dorée qu'offre le palais.
Les scènes de combat à la lance de Balsa (ou de Jiguro) sont tout simplement époustouflantes et que dire des épisodes 24 et 25 qui sont à couper le souffle.
En attendant il nous aura fallu patienter de façon agréable en compagnie de Chagum, Balsa, Tanda et de la Chamane tentant d'en apprendre le plus possible sur ce qui va arriver à Chagum tout en restant le plus discret possible, sans cesse poursuivis par l'élite des soldats de l'Empereur.

Jezekiel



Jiguro, le garde du corps de la jeune Balsa
Balsa, devenue à son tour garde du corps
le prince Chagum et l'esprit aquatique en éveil
Tanda, disciple de la Chamane et ami de Balsa
l'étrange Chamane Torogai
la Seconde Impératrice,
mère de Chagum et Sagum
le Prince Sagum, frère aîné de Chagum
Shuga, l'astrologue attitré de Chagum
le Saint Sage
l'Empereur

 Sengoku Basara

Histoire : Dans un Japon féodal, des chefs de guerre ouvrent les hostilités entre eux afin de conquérir le Japon entier. A partir de là, de plus en plus de serviteurs soutinrent leurs seigneurs et la nation entière, une nation guerrière, fut embrasée par le désir de conquête.
Nous suivons donc les batailles que se livrent plusieurs clans, trois en particulier. Le clan d'Oshu dirigé par Date Masamune dit le Dragon borgne et son fidèle bras droit, ou l'oeil droit du dragon, Kojuro. Le clan de Kai dirigé par le seigneur Takeda Oyakata, dit le Tigre de Kai, assisté par ses fidèles Yukimura et Sasuke. Mais également le clan du seigneur Kenshin et de sa belle lame Kasuga.
Bien que ces trois clans possèdent des antagonismes puissants, ils s'allieront rapidement contre un autre seigneur, le roi de la maison des cent démons, Oda Nobunaga qui met le pays à feu et à sang pour assouvir sa soif de destruction.

Jezekiel



Etant friand des personnages du jeu Sengoku Basara X transposés sur Mugen, j'ai appris l'existence de cet anime. Particulièrement intrigué, je ne me suis pas posé longtemps de questions et j'ai tout de suite suivi les aventures de ces guerriers aux pouvoirs incommensurables.
Il faut bien comprendre que nous n'avons pas à faire à un anime de samurai classique. Ici nos combattants se battent à grands renforts d'effets spéciaux allant de la flamme aux éclairs en passant même pas des technologies sacrément en avance sur l'époque (je pense bien évidemment au Mecha médiéval Honda Tadakatsu).
Le tout se mélange parfaitement et donne un résultat explosif. Si parfois on peut vite perdre pied dans les réflexions tactiques de Takeda, c'est vite balayé par une pitrerie dont lui et Yukimura ont le secret.

Jezekiel



le Seigneur Oda Nobunaga
le Tigre de Kai, Takeda Oyakata
Sanada Genjiro Yukimura
Honda Tadakatsu
l'Oeil droit du Dragon, Kojiro

 Shigurui

Histoire : Dans le Japon médiéval de l'an 6 de Kan'ei (XVIIème siècle), le seigneur Tokugawa Tadanaga décide de faire organiser au sein du château Sunpu un tournoi de samouraï et exige que ceux-ci utilisent de vrais sabres et non des sabres en bois comme à l'accoutumée pour ce genre d'exhibition, et ce contre l'avis de ses conseillers dont un se suicidera pour tenter de choquer son seigneur, en vain.
22 samouraïs participèrent à ce tournoi peu orthodoxe. Huit d'entre eux ont perdu et sont morts. Six sont morts lors d'un match nul, deux ont été fusillés pour ne laisser que six survivants dont deux blessés graves.
L'un des combats opposa deux samouraïs bien singuliers. Le premier, Fujiki Gennosuke, a un bras en moins mais une musculature incroyable. L'autre, Irako Seigen, est blessé à un pied mais, et surtout, est aveugle. Mais l'histoire de l'anime ne nous conte pas comment se déroule le tournoi mais retrace le lourd passif entaché de sang et autres joyeusetés qui existent entre ces deux guerriers.

Jezekiel



Je vous déconseille fortement cet anime. Même s'il est emprunt de l'honneur qui entoure les samouraïs, les douze épisodes qui constituent cet anime (première saison ?) est un véritable supplice pour les yeux. Constamment hyper sombre, on décèle à peine, par moment, ce qui se passe à l'écran. Pas de véritable fin, l'anime ne présente même pas une boucle qui nous ramène au premier épisode. Au sujet de cet épisode, la conclusion du combat ne nous ait pas révélée alors qu'après ces douze épisodes (ou les douze plaies du spectateur) c'est tout ce qu'on attend de plus.
Même s'il ne s'agirait là que d'une première saison, je ne suis pas sûr de vouloir regarder une seconde si elle est du même acabit.
En raison de l'obscurité quasi permanente, vous comprendrez que peu de screens sont exploitables et que je n'ai pu en faire beaucoup.

Jezekiel



Fujiki Gennosuke, il y a 7 ans
Fujiki Gennosuke au tournoi
Kogan, maître de Fujiki

 the Skull Man

Histoire : Dans un contexte d'après-guerre d'un futur proche, la ville japonaise d'Ootomo est secouée par des crimes brutaux.
Le journaliste Hayato Mikogami décide de se rendre dans la dite ville afin d'enquêter sur celui qu'il suspecte être l'auteur de ces crimes : l'homme-squelette.
A la descente du train qui l'y amène, Hayato sauve la jeune photographe Kiriko Mamiya, sans papier, grâce à ses laissez-passer. En effet la police ne plaisante pas avec les sans-papiers et elle abat tous ceux qui s'enfuient, purement et simplement.
La nuit venue, alors qu'un couvre-feu est de mise sur la ville, Hayato est contraint de faire un petit tour dans le quartier lorsqu'il rencontre un homme apeuré.
Voulant l'aider, ce dernier repousse Hayato d'une force surhumaine avant de s'enfuir. Hayato croise rapidement la route de ce qui a fait fuir l'homme, une sorte de doberman humanoïde qui disparaît rapidement. La créature rattrape l'homme et lui barre la route en lançant uen voiture en travers de son chemin.
C'est alors qu'un homme au masque de crâne les rejoint à son tour. Après avoir entendu un horrible cri, Hayato rejoint la scène où il retrouve l'homme apeuré mort. Il aperçoit également l'homme au masque et la créature s'éclipser fugacement.

Jezekiel



The Skull Man est une série particulièrement sombre sur fond de complots, machinations politico-religieuses et de manipulations des médias.
La série s'avère présenter le paradoxe de démarrer très lentement alors qu'elle ne possède que peu d'épisodes (13 en tout et pour tout) ce qui découragera les moins patients. Dommage car elle en vaut vraiment le coup !
Quasiment jusqu'à la fin on ne sait si le Skull Man est bon ou mauvais, m'ayant quelque peu déstabilisé par ce sentiment que rien n'est acquis.
Pour finir je dirais que l'animation est top et le design des divers protagonistes globalement bon !

Jezekiel



Hayato Mikogami
Kiriko Mamiya
le Skull Man
le Dernier Skull Man
Tetsurou, l'un des Serviteurs du Crâne.

 Strait Jacket

Histoire : L'histoire se passe dans une unique ville rappelant Londres des années 40. Les hommes sont parvenus à domestiquer la magie et à s'en servir pour de multiples applications telles que la médecine, la défense ou pour le bien public. Mais son utilisation n'est pas sans risques. En effet une mauvaise utilisation ou un abus de la magie entraîne la métamorphose de l'utilisateur en démon.
Ils inventèrent alors ce qu'ils appellent des gabarits, sorte d'exosquelettes permettant d'utiliser la magie sans risque grâce à la présence de multiples petites cartouches qui s'éjectent au fur et à mesure de l'utilisation de la magie.
Mais l'organisation terroriste Ottoman sabote des gabarits de-ci de-là provoquant des transformations irrémédiables chez les victimes. Pour contrer la menace que représente ces démons, le Bureau des Affaires Magiques fait appel aux Sorciers Tactiques, les Strait Jacket.
L'anime commence par la transformation en démon d'un chirurgien alors que tous les sorciers tactiques sont pris ailleurs. La seconde classe Mary Simmons va vite faire la connaissance de Reiott Steinberg, un sorcier tactique non autorisé, qui réglera son compte au nouveau démon et à plusieurs autres par la suite.

Jezekiel



Strait Jacket, voici le genre de manga que j'adore tout particulièrement. De la magie, des démons, des armures hi-tech superbement désignées servies dans des bains de sang et d'entrailles !
L'anime ne comporte que trois O.A.V. et c'est là le principal défaut de cette série. On y prend facilement goût et on est frustré lorsque vient la fin du troisième épisode. Autre petit défaut, les deux seuls sorciers tactiques que l'on rencontre dans ces trois O.A.V. combattent essentiellement dans des endroits assez sombres et les différences physiques des armures ne sont alors plus assez flagrantes pour les reconnaître au premier coup d'oeil.
En dehors de cela l'anime est superbe avec des effets de lumière splendides lors des incantations magiques. La trame des trois épisodes tourne principalement autour du sombre lien qui unit Reiott à Cabelletaite et Reiott à Isaac.
Je vous le recommande vivement malgré sa courte durée ;)

Jezekiel



Reiott Steinberg
Cabelletaita
Isaac dans son gabarit
Reiott dans son gabarit faisant une incantation magique
un Démon

 Street Fighter IV

Histoire : Dans une jungle non précisée, des animaux s'agitent quand soudain une décharge d'énergie en dévaste une grande partie.
Cette décharge ne passe pas inaperçue et Delta Red la détecte et la localise au bassin de l'Amazonie. C'est la troisième fois qu'ils détectent une telle décharge et chaque fois aucune éruption solaire inhabituelle n'a été mesurée. Ils en déduisent que l'origine doit en être artificielle et qu'elle peut être le résultat d'une expérience. Toutefois les images par satellite ne montrent rien d'anormal. Dans un coin de la pièce, Cammy signifie que les photos par satellite sont facilement trucables de nos jours et ils ne peuvent affirmer que l'ensemble des données qui leur parviennent n'ont pas été interceptées au préalable et modifiées. Tandis qu'ils se demandent qui peut bien avoir les relations et les compétences pour orchestrer cela à l'insu du monde, l'ombre de Shadaloo plane.
Ailleurs, Chun Li et Guile enquêtent sur la disparition mystérieuse de plusieurs maîtres d'arts martiaux par-delà le globe.
Les deux phénomènes sont-ils liés ?

Jezekiel



J'ai appris totalement par hasard l'existence de ce long O.A.V. (plus d'une heure) et j'ai fondu dessus tel un aigle sur sa proie.
C'est un régal de retrouver une nouvelle fois nos street fighters en version animée avec une qualité d'un très bon niveau. Au programme : Ryu, Ken, Chun Li, Guile, Cammy, Sakura, Dan ... mais aussi les p'tits nouveaux Seth, Crimson Viper et Abel, sans oublier quelques anciens malfaisants.
Les effets d'énergie sont vraiment bien fichus mais les combats ne sont pas assez fréquents à mon goût. Toutefois on passe un très bon moment devant cet O.A.V. et je le recommande à tous les fadas de cette quatrième série.

Jezekiel



Cela faisait longtemps que nous n'avions pas eu d'adaptation animée de la saga Street Fighter.
C'est donc avec un grand plaisir que j'ai regardé cet O.A.V., qui m'a d'ailleurs scotché devant mon écran. Les effets sont superbes, et l'histoire est accrocheuse, même si je n'ai pas joué au jeu Street Fighter IV. La bande-son est également au rendez-vous, avec une version du thème de Ryu fort sympathique en guise d'opening. Je regretterai juste un manque de combats, mais c'est compensé par la qualité de ceux-ci.
En bref, c'est un indispensable pour tout fan de la série.

Shion



Un animé sur Street Fighter, légende du jeu vidéo dans son domaine est toujours une agréable surprise, et ce fut le cas pour cet O.A.V. que je ne connaissais pas !
Bénéficiant d'un design soigné ou l'on reconnais aisément les protagonistes de cette série culte (ainsi que les petits nouveaux tiré de ce segment), ainsi qu'une réalisation d'ensemble soignée, cet animé ce suit avec intérêt. Et ce que l'on connaisse le background du 4ème volet ou pas, l'ensemble est très appréciable et accrocheur !
Bref , même si il n'égale pas a mes yeux le long métrage animé sur le 2ème volet (souvenir), cet "épisode" est plaisant au final et rend honneur a cette série définitivement incontournable, même si il est vrai que je reconnais aussi que plus d'affrontements aurait été les bienvenues !

Clad



Ryu
Ken Vs Crimson Viper
Chun Li & Sakura
Cammy
Seth

 Summer Wars

Histoire : Kenji, un jeune japonais rate de peu la possibilité de représenter le Japon dans des Olympiades de Mathématiques. Il se retrouve donc à faire de la maintenance pour Oz durant ses vacances d'été. Toutefois il accepte d'accompagner Natsuki à la campagne pour quelques jours afin de l'aider. Il se rend compte trop tard du petit "piège" dans lequel elle l'a mené lorsqu'elle le présente comme son petit ami.
Le soir venu il reçoit un sms codé. Il passe une bonne partie de la nuit à le décrypter et envoie la réponse. Le lendemain matin il apprend avec stupeur qu'il est accusé d'avoir semé le chaos dans le monde d'Oz, un univers virtuel reflétant le monde normal, interconnecté avec lui et tout aussi important. Son compte Oz piraté, Kenji retourne dans Oz avec un avatar temporaire pour tenter de savoir qui a fait ça. Il se rend vite compte que tout Oz est devenu un champ de bataille ... les Guerres de l'été ont débuté.

Jezekiel



Acquis complètement par hasard, j'ai mis pas mal de temps à le regarder. Mais si j'avais su quelle aventure il recellait, je l'aurais regardé bien plus tôt à n'en pas douter.
Quelque peu atypique et sans aucune prétention, cet O.A.V. s'avère être une véritable petite perle. Summer Wars nous présente la famille Jinnouichi haute en couleurs et très attachante en parallèle d'un combat virtuel qui met en jeu l'avenir du monde moderne, rien moins que ça.
Générateur d'émotions puissantes et variées, ce film divertissant et rafraîchissant vous fera passer près de deux agréables heures.

Jezekiel



le Monde d'Oz
Kenji
Natsuki
King Kazma
Love Machine

 Toriko X One Piece X Dragon Ball Z

Histoire : Le Championnat du Monde du plus gros mangeur est lancé ! A cette occasion une course d'endurance et de survie est organisée où tous les coups sont permis hormis voler dans les airs. A l'autre bout du parcours se trouve une arène et celui qui y parviendra le premier obtiendra le prix ultime : la légendaire viande bovine Carat ! Aussi succulente que recherchée.
Néanmoins, à peine la course est-elle lancée qu'un gigantesque sable mouvant s'ouvre sous les pieds des candidats. En son centre apparaît une gigantesque créature qui met hors jeu les concurrents.
Tous ? Non ! Trois groupes de candidats se détachent du lot et sont parvenus à dépasser le monstre. Il s'agit des groupes de Toriko, Luffy et Goku. La course ne fait que commencer !

Jezekiel



Que peut bien donner une rencontre aussi improbable de ces trois univers ? Une O.A.V. particulièrement médiocre !
...
Bon ! Okay ! Comme critique, ça serait un peu court et même s'il ne mérite pas plus, je vais développer un tantinet tout de même.
Ce n'est pas compliqué, cette O.A.V. est un florilège de n'importe quoi à tout bout de champ et ce dès le début (autant commencer fort -_-). Le scénario (même s'il est honteux d'employer ce terme dans ces circonstances) n'est qu'un prétexte de gamin attardé pour nous proposer des scènes plus délirantes, loufoques, absurdes et débiles les unes que les autres. Cette magnifique recette nous procure donc une O.A.V. quasiment sans saveur (un comble vu le thème culinaire) et ennuyant de A à Z !
Le scénario ? C'est fait ! L'animation ? Elle est correcte. Pas transcendante, mais correcte ... faut être honnête tout de même.
Les personnages ? Parlons-en, tiens ! Des personnages, dont les niveaux de puissance sont incomparables, se retrouvent sur un même pied d'égalité. On peut m'expliquer comment Toriko et Luffy résistent à un kaméhaméha de Goku en super saiya jin ? Vous l'aurez compris, ceux qui en pâtissent le plus sont les personnages de Dragon Ball Z ... à mon grand dam puisqu'ils représentaient le seul intérêt qui m'a fait regarder cette O.A.V.. En parlant de ces trois personnages, on peut dire qu'il n'y en a que pour eux. En dehors, les autres personnages des trois univers ont droit à des rôles de figurants qui n'ont droit qu'à une scénette torchée.
J'espère pour le bien de tous que ce genre d'expérience ne se reproduira plus et j'espère, aussi, qu'un jour quelqu'un saura leur expliquer dans des termes basiques, car apparemment c'est trop compliqué à comprendre encore de nos jours, comment marier des univers similaires et non pas aussi différents que ces trois là ! -_-

Jezekiel



Dès que j'ai eu vent de cet O.A.V., j'ai senti la piètre qualité d'un fan-service facile... Je n'ai pas été déçu !
Effectivement, ce cross-over réunit les univers de trois séries. Pourquoi pas ? Sauf que les séries en question ont pour seul point commun d'être créées par la Toei : elles n'ont ni le même genre d'univers, ni le même auteur, et encore moins un style graphique proche l'une de l'autre (notamment One Piece dont le character design est assez particulier). Autant dire que si vous n'aimez qu'une série sur les trois, il y a peu de chances pour que vous appréciiez. C'est d'ailleurs mon cas : j'adore DBZ, ne connais pas Toriko et déteste One Piece.
Du côté du scénario, c'est très basique, et sans surprise, mais je peux comprendre que le studio n'aie pas voulu trop se mouiller.
Concernant les personnages, c'est autre chose... L'O.A.V. aurait très bien s'appeler Toriko x Luffy x Gôku, car il n'y en a quasiment que pour ces trois-là. Il est récurrent que les personnages secondaires fassent parfois office de figurants dans les shônens, mais à ce point-là, c'est très rare ! Si vous vouliez connaître un peu les personnages des univers, c'est raté.
De plus on sait tous que les personnages de l'univers de Dragon Ball Z ont des puissances pour le moins démesurées... Il est choquant de voir Toriko et Luffy lutter à armes égales avec un Gokû en Super Saiyan.
Pour terminer sur une note positive, le côté technique est plutôt bien réalisé, et c'est appréciable.
Bref, vous aurez compris que cet O.A.V. n'est qu'un pur produit fan-service qui n'intéressera que les fans des trois licences couvertes, et qui aiment les cross-over improbables.

Shion



Toriko, Sunny, Rin & Komatsu
Sanji, Franky, Brook, Luffy & Chopper
Zoro, Vegeta & Zebra
un bien beau bordel
le monstre Akami

 Witchblade

Histoire : Masane et sa fillette Riko décident d'aller vivre à Tokyo, dévasté six ans plus tôt par un terrible séisme.
Ailleurs à Tokyo, l'inspecteur Nakata est appelé sur une nouvelle scène de crime, une nouvelle jeune femme démembrée et appartenant manifestement à la NSWF, l'Agence Enfance Bien Etre. Près de la scène un ivrogne est arrêté. Il prétend l'avoir tuée.
Une inspectrice de la NSWF est à la poursuite de Masane car elle est partie sans prévenir l'agence. Elle parvient à la retrouver et lui fait dès lors des difficultés car depuis le séisme, une loi a été votée pour protéger les enfants devenus trop rares. Finalement la NSWF obtient la garde de Riko ce qui met Masane dans tous ses états. Une course-poursuite en voiture débute dès lors et finit par un accident de Masane. Enfermée dans la même prison que l'ivrogne, la nuit venue les deux individus se révéleront être tout autre chose que ce qu'ils prétendent ...

Jezekiel



Vous aimez le comic ? Oubliez tout ce que vous croyiez savoir à propos de Sara Pezzini, ici la détentrice du Witchblade s'appelle Amaha Masane et le seul point commun est que seules les femmes peuvent la porter.
En dehors de ça, rien à voir avec les comics. Quasiment toutes les femmes adultes sont des bombes anatomiques ... certaines sont même à la limite du ridicule avec des poitrines exubérantes improbables. Autant le dire, ce déferlement de silicone gâche un peu l'anime. Puis avec ces cloneblade on a droit à des designs très folkloriques à profusion.
Le côté Ecchi est trop abondant et les combats trop rares et limite brouillons. En dépit d'un scénario assez translucide et une relation mère - enfant un peu trop sur le devant de la scène, l'anime se laisse regarder. Pas désagréable mais pas l'anime de la décennie.

Jezekiel



Masane dans sa forme Witchblade
Riko
Lady dans sa forme Cloneblade
Nora dans sa forme Cloneblade
Maria dans sa forme Cloneblade

 Wolf's Rain

Histoire : Dans un monde pré apocalyptique où les lois sont régies par des nobles élitistes au sein de mégalopoles qui leur sont propres et où la pauvreté force les plus pauvres à des moyens extrêmes, il est dit que lorsque le monde touchera à sa fin, quelque part un paradis émergera et que seuls les loups en connaîtront l'emplacement. Or cela fait près de 200 ans qu'ils sont censés avoir tous été exterminés par les hommes.
Le monde glissant doucement vers sa fin voit les choses s'accélérer avec l'arrivée d'un mystérieux loup blanc dans la cité de FreezeCity. Ce loup ralliera à sa cause une petite poignée d'autres loups qui ont survécu jusque-là en usant de subterfuges et en prenant forme humaine pour tromper les humains.
Lancée à la poursuite de leur Rakuen et de Cheza, la jeune meute rencontrera de nombreux individus bien singuliers et devra affronter moult dangers avant d'espérer atteindre un monde meilleur.

Jezekiel



Wolf's Rain fait partie des animes qu'on n'est pas prêt d'oublier tant il est magnifique dans tous les sens du terme. Un visuel des plus splendides rappelant un peu le style d'Hayao Miyazaki sur Princesse Mononoké. Une bande son inoubliable renforçant magistralement les scènes d'émotions et surtout un générique devenu culte pour moi :)
Outre le fait de nous offrir des scènes d'action orchestrées de main de maître, on a droit aussi à une atmosphère loin d'être rose ou même édulcorée. On est loin de Alice au pays des Merveilles où tout est beau et merveilleux et où tout se termine bien. Au fil de Wolf's Rain on ressent une certaine tristesse, une mélancolie omniprésente, souvent poétique. On affronte souvent la déchéance autant celle des hommes que celle des loups prêt à tout pour survivre mais aussi et surtout face à la poursuite d'un eldorado qui semble bien incertain.
A noter que la série, à l'origine compte 26 épisodes présentant une fin mitigée. Plus tard sont venus quatre nouveaux épisodes présentant une fin beaucoup plus dans le ton de toute la série et pour le moins éprouvante de par la peine si l'on s'est plongé à coeur perdu dans l'histoire.
Seule ombre au tableau : 4 épisodes consécutifs de flash back en plein milieu de la série coupant net l'élan et desservant honteusement la série. Mais il faut passer outre et oublier ce (grand) faux pas pour reprendre notre course effrénée vers le Rakuen.

Jezekiel



Kiba
Kiba, sous sa forme humaine.
Tsume, sous sa forme humaine.
Hige, sous sa forme humaine.
Toboe, sous sa forme humaine.
Cheza, la fille fleur de lune et guide des loups.
l'Inspecteur Hub Lebowski.
Quent Yaiden, le Chasseur de Loups.
Blue, le "chien" de Quent.
l'Impitoyable Noble Darcia.

 Wolverine

Histoire : Alors que Mariko et Logan passent du bon temps sur le pont d'un yacht, trois hommes surgissent de l'eau et les mitraillent. Logan s'interpose pour la protéger avant de se jeter sur eux toutes griffes dehors. Un an plus tard à New York, l'inspecteur Asano est pourchassé par une troupe d'élite de l'A.I.M. qui parvient à l'acculer sur le toit d'un immeuble. Mais c'est sans compter sur Logan qui les abat de façon spectaculaire. Une fois seuls, Asano révèle à Logan qu'il a retrouvé la piste de Mariko. Cette dernière s'avère être la fille de Shingen Yashida, le chef de Kuzuryu, la plus grande organisation criminelle du Japon. Afin de consolider un pacte entre le Kuzuryu et Kurohagi Hideki, le dirigeant de l'île de Madripoor, Mariko a été fiancée de force à ce dernier. Mais Logan ne l'entend pas ainsi et compte bien mettre tout en oeuvre pour faire échouer le mariage.

Jezekiel



A priori réalisé par le même studio que celui qui a fait IronMan, nous avons affaire là à un anime dont le résultat est plus que mitigé cette fois. Constitué de 12 épisodes également, on aurait pu s'attendre au même niveau qu'IronMan ... ben non. Le scénario tient sur une demie feuille de papier toilette, le chara-design de Logan n'est pas du tout respecté. On a sous les yeux un Wolverine de petite taille certes mais longiligne alors qu'il devrait être trapu.
Pire, son potentiel est grandement diminué. Il ne semble plus connaître les arts martiaux et se fait tenir la dragée haute par un vieux qu'il aurait éjecté en deux temps, trois mouvements dans le comic. Encore une grossière erreur, tandis que dans le comics il est capable de découper des portes en acier, dans cet anime il ne parvient pas à traverser une simple cotte de maille en acier renforcé. Attention à la déception suprême. Si vous avez le malheur de regarder le générique de fin, vous y verrez une scène contre Dents de Sabre ... n'espérez pas le voir. Dents de Sabre n'apparaîtra jamais dans l'anime.
Seuls trois moments m'ont vraiment plu : la séquence de combats contre Omega Red, son "meilleur ami" au sein des X-Men en guest star et les apparitions de Kikyo.

Jezekiel



Wolverine
Yukio
Kurohagi
Shingen
Kikyo

 X-Men

Histoire : Manipulée par le Cercle Intérieur, Jean Grey, sous son avatar de Phénix Noir, affronte les X-Men. Néanmoins elle finit par se suicider dans un moment de lucidité. Un an s'est écoulé depuis ce terrible évènement. Au Japon, une jeune fille du nom d'Hisako est pourchassée par des robots et finit sédatée. Une semaine plus tard, ses parents décident d'appeler une vieille connaissance : Charles Xavier. Après leur appel, ce dernier déclenche le signal d'urgence afin de regrouper ses élèves dispersés aux quatre coins du monde. Une fois réunis, le professeur leur explique que tous les policiers japonais ayant enquêté sur la disparition d'Hisako ont tous été victime d'un phénomène inconnu. Ils se doivent de partir enquêter eux-mêmes sur les lieux.

Jezekiel



On continue donc avec le même studio adaptant cette fois les X-Men en anime. Cette fois le chara-design est presque parfait (en fait seul Wolverine est à revoir, le mieux aurait été un compromis entre son design d'X-Men et celui de son propre anime).
Mais le chara-design est bien la seule chose respectée. On se retrouve avec un mix des univers des films, uncanny et ultimate pour un résultat moyen. Dans cette confusion, de très grandes libertés ont été prises avec les mutants et encore plus avec le personnage central de l'intrigue. Ils ont ni plus ni moins repris David Haller (Légion) et Moïra MacTagert, bien mélangé et secoué et nous ont pondu Takeo et Yui Sasaki
Et cerise sur le gâteau, Magnéto et sa confrérie que l'on voit au générique de fin n'apparaissent à aucun moment !

Jezekiel



Scott Summers / Cyclops
Logan / Wolverine
Charles Xavier / Professeur X
Henry McCoy / le Fauve
Emma Frost