Nom : Bouddha / 仏陀
Origine du nom : Mythologique
Classe : Divinité
Première apparition : Tome 21 / O.A.V. Hadès Sanctuary 9
Origine : Probablement Inde
Age : Inconnu
Taille : Inconnue
Poids : Inconnu
Date de Naissance : Inconnue
Signe Astrologique : Inconnu
Groupe Sanguin : Inconnu
Signes particuliers : Bouddha n'apparait jamais vraiment dans la série. On l'entend mais sa seule représentation physique est une statue à son effigie.
Parents connus : Aucuns
Lieu d'entraînement : Inapplicable
Caractère : Bouddha est une divinité non belliqueuse et se pose en tant qu'instructeur, prodiguant son savoir avec bienveillance.
Seiyûs : Tomomichi Nishimura

Aucunes

Faisant office de dieu unique en Inde, Bouddha s'est occupé de l'enseignement du jeune Shaka, futur chevalier d'or de la Vierge au service de la déesse grecque Athéna.
Il a souvent conversé avec le jeune Shaka durant son enfance mais une seule de leurs conversations a été reportée. A l'âge de six ans, Shaka restait assis devant la statue représentant Bouddha, sans rien faire, affichant une tristesse manifeste. Bouddha s'enquit de savoir ce qui le rendait si triste. Le jeune enfant lui répondit qu'il avait encore vu à ce jour des cadavres dans le Gange alors qu'au bord de ce même fleuve se baignaient des pèlerins venus de toute l'Inde. Pour Shaka, cela montrait une plus forte envie de mourir que de vivre. Shaka demanda pourquoi le pays où il est né était-il si pauvre, où ses habitants semblaient être nés pour souffrir et être tristes.
Bouddha lui demande si c'était pour cela qu'il était triste. Shaka répond que c'était normal. Qui voudrait une vie uniquement faite de souffrances. Bouddha lui dit alors que cela n'existe pas. Là où la souffrance existe, la joie trouve aussi sa place et l'inverse est vrai. Il lui dit qu'une belle fleur éclot mais elle se fanera un jour. En ce monde toute chose dotée de vie change à chaque instant. C'est un mouvement constant appelé l'incertitude. Il en va de même pour la vie des hommes. Shaka dit alors qu'en fin de compte c'est toujours la mort qui les attend, doit-on en conclure que c'est la tristesse qui va dominer toute leur vie. Quand bien même on peut essayer de dominer la souffrance, de chercher l'amour et la joie. Toutes ces choses seront réduites à néant par la mort. Shaka demande en conclusion pourquoi les hommes naissent-ils malgré le fait que la mort est inévitablement au bout de leur route. Nul ne peut échapper à cette chose parfaite et éternelle qu'est la mort.
Bouddha lui répond qu'il ne faut pas qu'il oublie que la mort n'est pas la dernière étape. Toutes les personnes nées sur cette terre et reconnues comme saintes ont surmonté l'épreuve de la mort. Il lui dit que si sa méditation le conduit à ces conclusions, bien qu'il soit un homme, il reste très proche de dieu.

La conversation à laquelle on assiste est en fait un moyen détourné pour tenter de réveiller l'Arayashiki, le 8^ème sens de Shaka.