Albérich de Megrez, l'étoile Delta

Albérich de Megrez
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Nom : Albérich / アルベリッヒ
Origine du nom : Mythologique
Classe : Guerrier Divin
Première apparition : Exclusif à l'Anime / Episode 74
Origine : Asgard
Age : Inconnu
Taille : Inconnue
Poids : Inconnu
Date de Naissance : Inconnue
Signe Astrologique : Inconnu
Groupe Sanguin : Inconnu
Signes particuliers : Aucuns
Parents connus : Albérich XIII (ancêtre)
Lieu d'entraînement : Sûrement Asgard
Caractère : Albérich représente certainement ce qu'il y a de pire parmi les ennemis d'Athéna. Albérich est un fourbe qui utilise à outrance les liens d'amitié entre ses adversaires pour les déconcentrer en plein combat. Lâche, il n'hésite pas à faire le mort pour que son adversaire du moment ait la naïveté de s'approcher très près de lui. Il ne cesse de mentir, promettant des choses qu'il ne compte jamais respecter à la seconde même où il les formule. Pour lui seule la victoire compte même si pour cela absolument tous les moyens sont bons. Cultivé et trop sûr de ses techniques, il perdra néanmoins en pratiquant une fois de trop son Amethyst Shield face à un adversaire qui a eu tout le temps de l'analyser.
Seiyûs : Shigeru Nakahara


 Attaques
Cercueil d'Améthystes / Amethyst Shield
voir l'attaque Amethyst Shield  
Lors de cette attaque, Albérich attire son adversaire à lui jusqu'à le recouvrir suffisemment de cristaux d'améthyste pour l'enfermer dans un bloc d'améthyste où l'infortunée victime se videra de son énergie vitale petit à petit.

Epée Flamboyante / Honoo No Ken

Esprits de la Nature / Nature Unity
voir l'attaque Nature Unity  


 Histoire
Membre de la cour du Walhalla, Albérich s'avère très vite être une personne très intelligente et possédant un assez grand savoir. Savoir qu'il préfère mettre à son propre service plutôt que d'aider ses congénères. C'est ainsi que régulièrement Hilda le conviait à part pour lui faire des remontrances. Elle lui disait qu'il faisait peine à Odin. Elle lui demandait régulièrement d'utiliser sa grande intelligence pour le bonheur des gens et la paix sur la Terre mais si cela lui était impossible, il n'avait pas de raisons d'être au temple Walhalla. La princesse Freya tentait à chaque fois d'atténuer la situation mais sans succès. Pour Albérich, Hilda le haïssait.
Un jour qu'il espionnait Hilda en train de prier au bord de la mer, une entité fit irruption. Elle proposa à Hilda de gouverner le monde et d'éliminer et Athéna et le Sanctuaire. Hilda avait bien évidemment refusé, provoquant la colère de l'entité qui la submergea de flots. Voyant cela, Albérich avait été tenté d'intervenir mais s'était retenu à temps. Lorsque Hilda fut rejetée sur l'autel et la mer calmée, Albérich s'enquit de savoir comment allait Hilda. Il comprit bien vite qu'elle était sous l'emprise de l'anneau des Nibelungen. Dès lors Albérich comprit que ses ambitions allaient bientôt pouvoir être assouvies et que ce n'était plus qu'une question de temps.
Comme signe du destin, Albérich reçut l'armure divine de Megrez, l'étoile Delta, par Hilda elle-même.
Devenu dès lors guerrier divin, Albérich se rend au palais d'Hilda où il s'agenouille devant elle en signe d'allégeance. Elle galvanise ses guerriers en leur assurant des jours meilleurs après avoir conquis le Sanctuaire d'Athéna.
Quelques jours plus tard, la princesse Freya, la soeur d'Hilda, est portée disparue. Siegfried, un autre guerrier divin, informe Hilda que Freya aurait suivi un saint d'Athéna. Cette information est confirmée peu de temps après par l'arrivée d'un de leurs gardes qui leur rapporte l'échauffourée qui a eu lieu avec un bronze saint.
Hilda décide de se rendre à leur rencontre accompagnée des sept guerriers divins, Albérich compris. Ils ne tardent pas à trouver la déesse Athéna accompagnée de trois de ses bronze saint. La tension monte d'un cran dès lors qu'Hilda agresse littéralement Athéna par l'intermédiaire de boules d'énergie. Albérich reste passif lors de cette confrontation.
Finalement Hilda se lasse de la résistance de la déesse grecque et cesse les hostilités. Des échanges de paroles ont alors lieu entre les deux parties sans que Albérich n'y participe. En revanche, lorsque les bronze saint d'Athéna remontent de l'autel à toute allure, Albérich, et d'autres guerriers divins, se mettent en travers de leur chemin. Mais Hilda leur ordonne de les laisser passer. Après quoi elle se retire, suivie d'Albérich ainsi que des six autres guerriers divins.
Revenu au Walhalla, Albérich est informé de la mort de son confrère Thor de Phecda, l'étoile Gamma. Il se rend alors de suite en informer Siegfried et lui dit qui l'a tué. De plus il l'informe que les quatre bronze saint se sont séparés et se rendent donc séparément vers le temple Walhalla.
Une heure plus tard, Albérich retourne au Walhalla et rejoint Siegfried ainsi que Syd, un autre guerrier divin. Il leur apprend que Fenrir a été vaincu, à la grande surprise de Siegfried. Syd dit que lui et Thor ont sous-estimé les saint d'Athéna qui possèdent des pouvoirs presque identiques aux leurs.
Encore un peu plus tard, Albérich retourne voir les deux autres guerriers divins pour les informer cette fois de la mort de Mime, ce qui met Syd en colère. Voyant que c'est à celui qui ira les tuer avec le plus d'ardeur, Albérich se moque d'eux et leur demande si les protecteurs d'Hilda sont stupides ? Il leur dit qu'à force, ils se jetteront dans le combat, pleins d'orgueil et de confiance et qu'ils se feront battre comme cet incapable de Mime. Ne prêtant pas attention au fait que Siegfried retient Syd de venir lui mettre dessus, Albérich continue sur le même ton et déclare qu'être très fort et maîtriser des techniques de combat les plus puissantes possibles ne suffisent pas. Siegfried lui demande alors ce qu'il propose. Albérich lui répond que l'important c'est de vaincre et pour cela tous les moyens sont bons. Sûr de lui, il promet de leur montrer comment tuer jusqu'au dernier de ces chevaliers.
Siegfried et Albérich s'échangent alors un regard glacial. C'est alors que la princesse Hilda fait irruption et demande ce qui se passe. Les trois guerriers divins se retournent et s'agenouillent immédiatement. Hilda demande à Siegfried s'il est vrai que Mime a été vaincu. Siegfried acquiesce. Hilda lui demande alors si les saints sont si terrifiants. Siegfried répond que les chevaliers, jusque-là, ont eu la chance avec eux, rien de plus. Albérich décide d'intervenir et fait part à Hilda qu'il a élaboré un plan pour les débarrasser de ces chevaliers une bonne fois pour toutes. Voyant qu'Hilda est intéressée, Albérich se permet de lui rappeler que le nom des Albérich sert Odin depuis des générations et qu'il a toujours été synonyme de loyauté et de dévotion. Voyant le regard glacial que lui jette Siegfried par-dessus son épaule, Albérich lui répond par un sourire. Continuant à s'adresser à Hilda, Albérich fait le serment sur sa réputation et qu'au nom d'Asgard il enverra les chevaliers en enfer. Hilda lui accorde alors toute sa confiance et lui permet d'accomplir son plan. Tout en repartant, elle lui demande de ne pas échouer. Albérich se relève et la remercie. Il dépasse les deux autres guerriers divins toujours agenouillés et augmente son cosmos en guise de défi envers Siegfried, puis il part.

Se tenant devant la statue d'Odin, Albérich ricane en pensant qu'autrefois Hilda le détestait et qu'aujourd'hui elle lui voue une confiance aveugle. Partant vers les bois, ses pensées sont soudainement interrompues lorsqu'il aperçoit une silhouette se déplacer avec célérité entre les arbres. Il se lance de suite à sa poursuite mais perd de vue l'inconnu. Ce dernier fond soudain sur lui du haut des arbres mais Albérich esquive les coups sans peine. Alors qu'il contre-attaque, l'inconnu esquive à son tour et disparaît dans un buisson. Albérich se lance à nouveau à sa poursuite et finit par lui couper la route, l'obligeant à s'arrêter. Albérich constate qu'il s'agit d'une femme masquée et lui demande si elle est un chevalier. L'inconnue ne dit mot. Frustré, Albérich lui demande au moins de lui dire son nom. La femme lui répond qu'il n'est pas digne de le connaître. Soudain Albérich se souvient que les femmes chevaliers doivent porter un masque pour cacher leur visage et conclut qu'il s'agit bien d'un chevalier. Devant la surprise de l'inconnue, Albérich lui affirme fièrement qu'il est la personne la plus cultivée d'Asgard et se présente à elle. Après quoi il lui demande ce qu'elle fait en Asgard. La femme ne lui répond toujours pas. Finalement Albérich lui dit que ça n'a aucune importance car tout chevalier qu'il rencontrera mourra ! L’inconnue lui dit de ne pas sous-estimer Seiya et ses compagnons et qu'il ne sera jamais que le cinquième guerrier divin battu par les chevaliers ! Albérich se met alors en garde tout en exprimant son regret de ne pas avoir pu voir le visage de son ennemie avant de lui offrir une mort lente. Puis ils se jettent l'un contre l'autre. Albérich projette son ennemie violemment contre un arbre. La laissant se relever, Albérich lui dit qu'elle va bientôt mourir. La femme lui répond qu'elle est prête à mourir mais que sa mort ne sera pas inutile. Albérich lui demande alors de regarder autour d'elle. Tandis que la femme découvre où elle se trouve, Albérich l'informe qu'il s'agit d'améthystes à l'usage bien particulier. Voyant son ennemie terrifiée de voir plusieurs cadavres enfermés dans ces blocs d'améthyste, Albérich ricane et lui conseille de se préparer au même sort. La femme se met en garde et se jette sur lui. Elle lui assène de nombreux coups de poing. Albérich s'en protège avant de bloquer un des bras de son assaillante et de la jeter en l'air. La femme se réceptionne et lance un nouvel assaut de coups de poing. Albérich est forcé de constater que son adversaire se débrouille très bien et qu'il s'était trompé à son sujet. Il finit par encaisser plusieurs coups à la suite desquels il mord la poussière.
Albérich fait le mort jusqu'à ce que l'inconnue soit suffisamment prête. C'est alors qu'il se relève en un éclair et projette une sorte d'acide au visage de son ennemie. L'entendant dire que c'est déloyal, Albérich lui répond que ce mot ne fait pas partie de son vocabulaire et que seul le mot "victoire" existe ! Puis il se jette sur la femme et la frappe violemment au ventre, la faisant se mettre à genoux. Puis il se plait à la rouer de coups. Son adversaire finit par contre-attaquer avec son Eagle Toe Flash. Surpris, Albérich reçoit l'attaque dans les côtes. La femme décide d'enchaîner immédiatement en pratiquant une nouvelle fois sa technique mais Albérich, cette fois, ne se fait pas surprendre et envoie la femme au sol.
Albérich ricane alors et lui dit que l'heure est venue pour lui de la tuer. Il la laisse se relever et lui affirme que c'est dans un cercueil d'améthyste qu'elle découvrira l'enfer. Il ricane à nouveau, concentre son cosmos et exécute son Amethyst Shield. L'inconnue est frappée de plein fouet par la technique et est enfermée vivante dans un bloc d'améthyste, rejoignant les précédentes victimes d'Albérich.

Albérich jouit de cette première victoire et de la mort prochaine d'Athéna. Ressentant un cosmos approcher, Albérich décide de l'attendre à découvert et de l'accueillir. Le nouveau chevalier lui demande qui il est et Albérich se fait un plaisir de se présenter. Le chevalier fait de même et dit être Seiya, le chevalier de bronze de Pégase. Albérich lui demande alors s'il désire l'affronter dans un tel état. Seiya ne répond pas à cette question et demande où se trouve Marine. Ne connaissant pas ce nom ni celui de son premier adversaire, Albérich lui demande s'il s'agit de la femme qu'il vient de tuer et s'il a l'intention de s'emparer de son saphir d'Odin. Albérich continue et lui dit que dans son état, espérer pouvoir le battre relève du miracle. Le chevalier se met en garde et lui répond que le propre des chevaliers est de réaliser des miracles ! Albérich ricane et exécute son Amethyst Shield.
Son ennemi esquive, saute d'arbre en arbre et réplique avec son Pegasus Ryu Seï Ken. Albérich tente de s'en protéger mais finit tout de même par mordre la poussière. Albérich feint de se relever péniblement pour inciter son adversaire à s'approcher sans craintes. Celui-ci arrivé alors à sa portée, Albérich se relève en un éclair et tente de le frapper du poing mais Seiya esquive de justesse le coup. Pire, il bloque le bras d'Albérich, l'envoie en l'air et exécute son Pegasus Rolling Crash.
Albérich frappe le sol la tête la première avec violence. Un filet de sang coule de ses lèvres. Alors que le chevalier lui dit que son saphir lui appartient, Albérich ricane et lui répond que ce n'est pas encore chose faite. Il dit au saint de regarder dans une direction bien précise afin de lui montrer le corps de Marine enfermé dans un bloc d'améthyste. Albérich profite du temps mort qu'inculque cette vision au chevalier pour se relever péniblement tout en ricanant et en affirmant que lui et Marine seront ses appâts pour attirer les autres chevaliers et que tous mourront ici ! Comprenant que la femme chevalier et Seiya communiquent par télépathie, Albérich fait déchanter Seiya en lui disant que ces cercueils d'améthyste ont le pouvoir d'absorber l'énergie de ceux qu'ils détiennent prisonniers. Il lui demande donc si Marine sera en mesure de résister jusqu'à son retour.
Voyant le saint foncer sur lui, Albérich lui dit d'attendre car s'il meurt maintenant, Marine ne pourra plus jamais être libérée. Et ses mots font mouche puisque le bronze saint s’arrête net. Albérich lui dit que si le sort de Marine lui est égal, alors qu'il l'attaque. Dans le cas contraire, il ferait mieux de s'agenouiller devant lui et alors il la libérera. Il ajoute également de lui remettre le saphir de Thor. Comprenant que Marine aimerait mettre fin à ses jours pour ne plus tirailler l'esprit du bronze saint, Albérich lui dit que c'est inutile car les cercueils empêchent tout mouvement et donc tout suicide. Puis il répète à Pégase que s'il lui donne le saphir d'Odin en sa possession et qu'il lui prête allégeance, il laissera Marine s'échapper. Le chevalier ne le croit pas. Albérich le lui promet alors au nom de son titre de guerrier divin. Finalement Seiya prend une décision et pratique son Pegasus Ryu Seï Ken. Albérich esquive les premiers coups mais s'en prend finalement plusieurs de plein fouet. Cette fois, Albérich ne joue plus et se relève immédiatement après l'attaque. Il ricane et passe à côté de son adversaire, lui demandant si les chevaliers se soucient de la vie des autres. Le saint baisse les yeux et se retourne pour lui dire que les chevaliers ont le devoir de protéger Athéna au prix de leur vie. Le chevalier de bronze lui lance alors un ultimatum : s'il ne veut pas mourir, qu'il libère Marine sur le champ. Albérich comprend qu'il s'est trompé sur le compte de son adversaire présent et lui fait remarquer par sadisme que Marine commence à se vider de son énergie vitale. Voyant combien le chevalier est devenu furieux, Albérich recule par instinct et lui rappelle que s'il meurt, Marine mourra aussi. Mais le chevalier n'écoute plus et exécute à nouveau son Pegasus Ryu Seï Ken.
Cette fois Albérich esquive d'un bon l'attaque. Il plonge sa main dans le creux d'un arbre et en ressort une épée de cristal qu'il enflamme : le Honoo No Ken. Il saute alors sur Seiya mais ce dernier esquive et Albérich plante l'épée dans le sol ... qui s'embrase. Albérich prétend alors qu'il va le trancher grâce à son Honoo No Ken. Il lui dit que lorsque Hilda lui confia l'armure divine de Megrez, l'étoile Delta, il reçut également le Honoo No Ken, cette arme faisant partie intégrante de son armure. Puis Albérich se met alors à pourfendre l'air de son épée mais le bronze saint esquive chaque coup. Soudain le bronze saint le contre et le bloque au niveau des mains. Les deux adversaires confrontent alors leur force physique. Comprenant que son adversaire est susceptible de prendre le dessus à plus ou moins long terme, Albérich lui demande si cela lui est égal que Marine meurt. La ruse fonctionne puisque le chevalier se déconcentre un court instant permettant à Albérich de lui donner un bon coup de genou au ventre puis un coup d'épée sur l'épaule avant de lui entailler les cuisses. Son ennemi tombe à genoux le traitant de lâche. Albérich lui répond que tous les moyens sont bons s'ils lui donnent la victoire. Prêt à l'achever, Albérich lève son épée quand soudain Pégase se relève et réplique avec ses météores. Lors de la confrontation éclaire, Albérich perd son épée qui part se planter dans le sol un peu plus loin et l'embrase. Quant au bronze saint, il met un genou à terre, la contre-attaque lui ayant beaucoup coûté. Albérich se retourne et s'avance vers lui, lui disant qu'il aurait pu périr sous le Honoo No Ken. Il concentre alors son cosmos et exécute son Amethyst Shield à bout portant. Le chevalier le reçoit de plein fouet et est enfermé à son tour dans un bloc d'améthyste tout en laissant échapper le saphir d'Odin de Thor.
Tout en ramassant le saphir d'Odin, Albérich traite Seiya d'idiot. Puis il ricane ne comptant plus que quatre chevaliers à l'aide desquels il étendra ce cimetière d'améthyste. Il approche le saphir de Thor du sien et les deux saphirs semblent briller en synchronisation. Il se souvient alors du jour où Hilda reçut l'anneau des Nibelungen. Le jour où son attente allait prendre bientôt fin.

Attendant patiemment qu'un nouveau chevalier vienne au secours des deux autres, Albérich est récompensé lorsqu'il voit sa troisième future victime arriver au beau milieu du cimetière d'améthyste. Il le laisse faire connaissance avec cette singulière place où il aperçoit ses amis dans les cercueils. Après quoi, le chevalier semble le chercher ; alors Albérich se montre et lui souhaite la bienvenue dans le cimetière des chevaliers, son Honoo No Ken à la main. A la demande du chevalier, Albérich se présente et profite de l'occasion pour lui demander s'il a en sa possession un saphir d'Odin. Le chevalier affirme avec fierté posséder le saphir d'Hagen et que bientôt il s'emparera du sien. Albérich lui répond qu'il possède également le saphir que Seiya a enlevé à Thor. Le chevalier lui dit alors que pour sauver Hilda de l'anneau des Nibelungen, ils doivent réunir les sept saphirs. Albérich lui rétorque qu'il est inutile de le lui préciser. Le chevalier lui demande alors ce qu'il compte faire d'un monde englouti sous les flots. Albérich lui répond que qui qu'il soit, il ne sait rien. Le chevalier se présente alors comme étant le chevalier du Cygne, Hyoga, et il concentre son cosmos. Albérich fait de même et pointe son épée sur le Cygne. Il lui fonce dessus et tente de le pourfendre. Le chevalier esquive d'un bond et fond sur Albérich. Ce dernier le réceptionne d'un revers de l'épée et entaille le buste de l'armure de bronze. Puis il se jette sur lui et lui assène de nombreux coups d'épée. Son adversaire esquive chaque coup de justesse avant de reculer et de lui asséner son Diamond Dust. Albérich se protège de l'attaque derrière son Honoo No Ken qui gèle sous l'assaut glacial du chevalier. Projeté en l'air, Albérich se réceptionne sans mal, se relève, concentre son cosmos et éclate la gangue de glace entourant son épée. Après quoi Albérich tente à nouveau de frapper Hyoga à coups d'épée. Le bronze saint saisit une ouverture dans la défense d'Albérich pour se jeter à ses pieds et les lui geler au sol. Bien que l'attaque soit particulièrement douloureuse, Albérich abat son épée flamboyante sur le dos de son ennemi et le repousse. Tandis que le chevalier se relève, Albérich fait fondre la glace qui emprisonne ses jambes à l'aide de son Honoo No Ken.
Une fois libre, Albérich se jette une nouvelle fois sur le bronze saint ; celui-ci l'esquivant par une roulade, c'est un arbre qui se retrouve fendu sous les assauts d'Albérich, qui, impitoyable, tente d'embrocher son adversaire resté au sol. Toutefois ce dernier se rebiffe et le frappe au ventre avant de l'expédier un peu plus loin. Tandis qu'Albérich se relève, Hyoga lui assène son Aurora Thunder Attack. C'est au tour d'Albérich d'être pris dans un bloc, cette fois de glace. Heureusement pour lui, il parvient à se libérer grâce à son Honoo No Ken qui fait à nouveau fondre la glace. Libre, il reconnaît que sans son épée, il serait resté prisonnier de la glace. Puis il dit au chevalier que c'est une bonne chose qu'il ne soit pas mort, car si cela lui arrivait, Seiya et Marine seront à jamais enfermés dans l'améthyste. Il prétend également être le seul à pouvoir les délivrer. Puis il ricane et déclare à son adversaire que s'il lui remet le saphir d'Hagen et lui jure fidélité, il relâchera Seiya et Marine. Il lui laisse cinq secondes pour y réfléchir.
Finalement, le chevalier n'attend pas la fin de ce laps de temps ; il concentre son cosmos et répond à Albérich qu'en tant que chevalier d'Athéna, il récupérera le saphir de Thor et lui prendra le sien. Albérich, lui faisant remarquer qu'il ne se soucie guère de la mort de ses amis, concentre alors aussi son cosmos et exécute son Amethyst Shield. Le bronze saint contre-attaque avec son Aurora Execution qui est loin d'être suffisamment puissante. Le chevalier est de plus en plus attiré vers Albérich lorsqu'il frappe à nouveau. Albérich réagit vivement. Afin de ne pas se faire geler, il crée un mur de flammes à l'aide de son épée et saute par-dessus, espérant atteindre Hyoga. Toutefois, le froid gèle à nouveau son Honoo No Ken qu'il plante à quelques centimètres de la tête du chevalier. L'épée ne reste pas longtemps gelée mais le chevalier repousse Albérich d'un puissant coup de pied. Albérich ricane et atterrit sur une branche. Il lui semble que le chevalier retient ses coups, ne sachant pas s'il doit le tuer ou non. Il lui fait part de son sentiment et ajoute que s'il lui remet son saphir, il fera en sorte de sauver Athéna. En guise de réponse, son adversaire lui projette une attaque glaciaire qu'il esquive parfaitement en sautant sur une autre branche. Après quoi, il provoque le chevalier afin qu'il le pourchasse.
Après une longue course-poursuite, Albérich amène Hyoga pile à l'endroit désiré. Ayant pour but de suffisamment affaiblir Hyoga pour l'enfermer dans son Amethyst Shield, Albérich choisit d'utiliser son ultime attaque, la technique des Albérich, et précise au chevalier qu'il devrait en être honoré. Ce dernier lui demande de quel genre de technique il s'agit et Albérich lui répond fièrement que celle-ci lui permet de s'unir à la nature. Albérich se concentre alors, ferme les yeux, augmente son cosmos et exécute son Nature Unity. Il projette deux boules d'énergie qui passent à côté du chevalier pour frapper les arbres. Les arbres s'animent alors et projettent de nombreux projectiles de bois qui finissent par frapper de plein fouet le bronze saint. Tandis que son ennemi se relève, Albérich l'offre en sacrifice aux esprits de la nature. Le chevalier se défend, frappant les arbres, ce qui a pour effet de rendre les esprits que plus agressifs. Ces derniers finissent par ficeler le chevalier dans leurs branches et l'enserrent. Toutefois, le chevalier parvient à éclater le chaos de bois dans lequel il est pris mais ce n'est que pour mieux se faire frapper par les nombreuses branches. Envoyé contre un tronc d'arbre le chevalier tombe face contre sol. Albérich lui demande alors s'il abandonne. Il lui demande, tout en ricanant, de lui remettre le saphir d'Hagen.
N'ayant pas de réponse de Hyoga, Albérich lui ordonne de se relever s'il est bel et bien un chevalier. Hyoga se relève péniblement, Albérich se moquant de le voir encore sur ses jambes. Il lui affirme qu'il va mourir. Albérich exécute alors une nouvelle fois son Amethyst Shield. Affaibli, le chevalier du Cygne semble déjà être enfermé dans un cercueil d'améthyste. Cela aurait pu être le cas sans l'intervention inopportune d'un nouveau chevalier.

Effectivement, le nouvel arrivant écarte le chevalier du Cygne de la trajectoire de l'Amethyst Shield. Voyant que le nouvel arrivant prend la relève de Hyoga, Albérich lui demande qui il est. Ainsi le chevalier s'avère être Shiryu, le chevalier de bronze du Dragon. A ce nom, Albérich est surpris car il sait être face au disciple du vieux maître des cinq pics. Albérich lui dit qu'il se souvient des mémoires de son ancêtre, Albérich XIII, qui avait affronté le vieux maître il y a bien longtemps. Malheureusement, Albérich XIII avait été vaincu et l'occasion se présentait aujourd'hui pour Albérich de le venger.
De plus Albérich demande au chevalier s'il a en sa possession un saphir d'Odin, et dans l'affirmative, lui ordonne de le lui remettre. Le chevalier de bronze confirme posséder un saphir, celui de Fenrir, mais qu'il lui servira à sauver Hilda et protéger Athéna, ceci étant plus important que toute autre chose. Albérich lui répond qu'il va donc avoir recours à la force et son ennemi se met en garde, bien décidé à prendre la relève de son frère d'armes.
Albérich exécute alors son Amethyst Shield mais le Dragon s'en protège derrière son bouclier et frappe Albérich qui en perd son Honoo No Ken. Albérich est stupéfait par ce qui vient de se passer. Le chevalier lui dit que le bouclier du Dragon est le plus solide de tous et que l'Amethyst Shield ne sera aucunement efficace contre lui. Enervé par tant d'assurance, Albérich fait appel à son Nature Unity. La secousse met le bronze saint à terre et les arbres le frappent de leurs branches avant de l'enserrer.
Albérich lui promet de le libérer s'il lui donne son saphir d'Odin. Le chevalier refuse. Ce dernier se concentre et devient excessivement calme. Les esprits de la nature le relâche alors. Shiryu se relève et s'apprête à exécuter son Rozan Sho Ryu Ha lorsque le Nature Unity revient à l'attaque, décelant à nouveau de l'agressivité. Le chevalier est à nouveau soulevé et enserré, se faisant frapper de toutes part, avant de reprendre son calme. Les esprits de la nature le relâchent à nouveau.
Très contrarié par cette performance, Albérich cherche le moyen de faire perdre son calme à son ennemi. Il se jette alors sur lui mais le chevalier se protège grâce à son bouclier. Albérich lui dit alors que Seiya et Marine doivent être en train de mourir en ce moment. Ayant réussi à perturber le calme de Shiryu, Albérich appelle à nouveau son Nature Unity. Voyant le chevalier se débattre face aux esprits de la nature, Albérich lui révèle que Seiya et Marine sont enfermés dans des cercueils d'améthyste, leur énergie quittant leur corps. Le chevalier laisse éclater sa colère, ne rendant les esprits que plus véhéments. Finalement, le chevalier reprend son calme et les esprits cessent à nouveau toute hostilité. Albérich lui dit alors qu'il s'emparera des sept saphirs d'Odin et de l'épée de Balmung. Le chevalier brise sa concentration pour lui répondre que pour sauver Hilda il leur faut à tout prix cette épée. Les esprits de la nature recommencent alors à le frapper.
Albérich décide alors de lui expliquer ses motivations. Qu'avec l'épée de Balmung il pourrait prendre la tête des guerriers divins et prendre la place d'Hilda pour contrôler le monde comme l'espère le faire Hilda. Il lui dit aussi que les chevaliers lui ont simplifié la tâche en venant les affronter sur leurs propres terres. Plein de colère, le chevalier doit à nouveau faire face au Nature Unity avant de regagner son calme. Ceci contrarie Albérich qui propose à son ennemi d'aller voir ensemble les dépouilles décomposées de Seiya et Marine ; mais son stratagème visant à déconcentrer son adversaire ne fonctionne plus.
Albérich se jette alors sur le chevalier et lui assène plusieurs coups ... tous sont esquivés sauf le dernier qui le met à genoux. Albérich décide alors d'utiliser son Amethyst Shield mais son adversaire use à nouveau de son bouclier pour s'en protéger. Après l'attaque, le bronze saint ôte soudain son armure. Albérich ricane et lui demande s'il a décidé d'abandonner. Shiryu le contredit, lui faisant face. Sachant que son adversaire ne pourra plus se protéger de son Amethyst Shield, Albérich use à nouveau de cette technique. Mais le chevalier le contre et le frappe de plein fouet avec son Rozan Sho Ryu Ha. Son adversaire lui expliquant la stratégie qui l'a mis en échec, Albérich se maudit de s'être fait ainsi avoir et meurt, laissant échapper son saphir d'Odin.


 Armure
Etoile

Delta
Origine de l'armure
Le terme "Megrez" ne semble se reporter à rien d'existant dans la mythologie scandinave. En revanche, "Megrez" est le nom de l'étoile Delta de la constellation de la Grande Ourse.